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- ElyasEsprit sacré
Volo' a écrit:Elyas a écrit:Juste une remarque, le prélèvement d'informations, c'est du niveau cycle 2 et début cycle 3. Au collège et au lycée, ce ne devrait pas être un objectif ou un travail principal, sauf pour remédiation ou rattraper ce qui n'a pas été fait.
On est d'accord. Cela reste la base de notre domaine, cependant. Pas d'explication sans prélèvement de quelque information. :3 Cependant avec l'appauvrissement du vocabulaire voire de la compréhension des phrases, pour certains élèves il est difficile de prélever dans un mic-mac qu'ils ne comprennent pas. Cela m'a valu parfois de passer plus de temps que souhaité sur du prélèvement avec les collégiens.
(il n'y a pas quelqu'un qui avait créé un sujet sur les manuels ? Soit je ne le trouve pas soit je fabule ?)
C'est l'une des raisons du succès des formations portant sur la compréhension. Elles deviennent priorité nationale au niveau des cycles 1, 2 et 3 voire 4. Malheureusement, les formateurs compétents sont peu nombreux, et principalement des formateurs de lettres. Rares sont les formateurs compétents sur la compréhension qui ne sont pas en lettres (on travaille à changer cela dans mon Académie).
- sookieGrand sage
Feuchtwanger a écrit:Déjà, c'est une pratique personnelle : je fais l'ensemble de mes cours et je trouve l'ensemble de mes documents moi-même. C'est donc un choix de confort.
D'un point de vue pratique, j'ai le souvenir en tant qu'élève que les manuels sont un frein (élève qui ne l'a pas, source de distraction, etc...).
D'un point de vue plus politique, je suis contre le business de l'édition autour du secondaire. Il y a des enjeux financiers que je trouve inacceptables dans les changements de programme et une manière "d'orienter" les programmes dans un sens qui rogne à mon avis la liberté pédagogique. J'avais le souvenir d'un prof qui avait rédigé un manuel et qui m'avait raconté ses déboires pour tenter de mettre un cours sur la prise d'Alger en 1830...
Pour ce qui est de la qualité du contenu, je ne me prononce pas ne les utilisant pas et ils me semblent dans l'ensemble très bien faits. Je connais des gens qui y sont impliqués et je ne doute pas de leur sérieux (mais j'avais refusé par principe lorsqu'ils m'avaient proposé de participer à la rédaction d'un manuel). Le problème, c'est que vu que j'ai une approche magistrale et que les manuels sont surtout des repères à activités, cela ne correspondrait pas à mon cours.
Justement par rapport à la question des dépenses, je pense que les établissements mettraient leur argent plus à profit en achetant de vieux manuels qui permettraient de fournir une base de connaissances solides (qui pourrait être actualisée pendant les cours à partir des avancées scientifiques) et qui pourraient faire des décennies (et oui, je suis tombé amoureux du Malet-Isaac pour cadrer chronologiquement les élèves avant le cours en lycée).
Sinon Zagara, quand tu as parlé de coin de table et de gens pas forcément compétents j'ai spontanément cru que tu parlais des gens qui faisaient les programmes. Peut-être parce que je suis en train de défricher celui de l'enseignement de spécialité?
Mais du coup, tu fais combien de photocopie par élève et par cours ? et tu peux les faire en couleur ?
J'ai encore de la chance c'est qu'on ne nous embête pas trop à cause des photocopies, à part quelques réflexions de la gestionnaire, mais j'essaie de les limiter au strict nécessaire donc je suis souvent obligée de me contenter des docs du manuel ,en reformulant les questions la plupart du temps (je suis en collège).
- OlympiasProphète
J'utilise ce qui me convient dans le manuel mais j'ai un blog et je donne des feuilles avec des QR codes si nécessaire. Et ils prennent des notes !
- FeuchtwangerNiveau 9
sookie a écrit:
Mais du coup, tu fais combien de photocopie par élève et par cours ? et tu peux les faire en couleur ?
J'ai encore de la chance c'est qu'on ne nous embête pas trop à cause des photocopies, à part quelques réflexions de la gestionnaire, mais j'essaie de les limiter au strict nécessaire donc je suis souvent obligée de me contenter des docs du manuel ,en reformulant les questions la plupart du temps (je suis en collège).
Je fais pas de photocopies. Je vidéoprojette les documents et ils y ont accès sur leur bureau virtuel. Et je les fais beaucoup, beaucoup écrire.
D'ailleurs, c'est un de mes objectifs pour l'année prochaine : utiliser des outils respectant la souveraineté numérique des élèves.
- sookieGrand sage
Feuchtwanger a écrit:sookie a écrit:
Mais du coup, tu fais combien de photocopie par élève et par cours ? et tu peux les faire en couleur ?
J'ai encore de la chance c'est qu'on ne nous embête pas trop à cause des photocopies, à part quelques réflexions de la gestionnaire, mais j'essaie de les limiter au strict nécessaire donc je suis souvent obligée de me contenter des docs du manuel ,en reformulant les questions la plupart du temps (je suis en collège).
Je fais pas de photocopies. Je vidéoprojette les documents et ils y ont accès sur leur bureau virtuel. Et je les fais beaucoup, beaucoup écrire.
D'ailleurs, c'est un de mes objectifs pour l'année prochaine : utiliser des outils respectant la souveraineté numérique des élèves.
Du coup, les élèves ont ordi ou tablette en classe, je suppose. Ce qui n'est pas le cas des miens.
- FeuchtwangerNiveau 9
Non, je n'utilise pas de tablette ou d'ordi. Je leur donne les documents et les cours à lire chez eux avec une trace écrite pour vérifier que le travail a été bien fait.
- Isis39Enchanteur
Feuchtwanger a écrit:Non, je n'utilise pas de tablette ou d'ordi. Je leur donne les documents et les cours à lire chez eux avec une trace écrite pour vérifier que le travail a été bien fait.
Donc les élèves ne peuvent pas travailler sur les documents ? Ils sont juste vidéoprojetés ?
- ZagaraGuide spirituel
@Feuchtwanger : Ça m'intéresserait que tu décrives ta pratique dans l'ensemble.
- sookieGrand sage
Isis39 a écrit:Feuchtwanger a écrit:Non, je n'utilise pas de tablette ou d'ordi. Je leur donne les documents et les cours à lire chez eux avec une trace écrite pour vérifier que le travail a été bien fait.
Donc les élèves ne peuvent pas travailler sur les documents ? Ils sont juste vidéoprojetés ?
Voilà c'est ce qui me questionne aussi.
Et je ne comprends pas non plus "les cours à lire chez eux avec une trace écrite"
(Comme Zagara, je suis curieuse, il ne s'agit en rien de critiquer tes pratiques)
- FeuchtwangerNiveau 9
Avant le cours j'envoie aux élèves un cours tiré d'un vieux manuel tenant sur une feuille A4. Ils la lisent chez eux et font un schéma d'acteurs (à partir des acteurs que j'ai marqués sur la feuille de cours) à partir d'un ensemble de signese que je leur ai donnés au début d'année et/ou une frise chronologique.
Ensuite, pendant le cours je leur fais prendre des notes où nous explorons des points du cours pour montrer comment la narration du vieux manuel peut être sujette à des débats en jouant sur l'opposition entre la mémoire (qu'en 5ème je présente un peu abusivement comme un "roman national") et l'histoire (que j'appelle l'atelier de l'historien). A cette occasion, nous commentons en classe des documents iconographiques vidéoprojetés (par exemple en comparant un tableau d'époque et un du XIXème du même événement et en montrant les différences (alors que d'autres servent juste d'illustrations).
Après le cours, je leur envoie les docs qu'ils classent sur une clef usb avec le cours envoyé avant le cours. Pour les plus petites classes, je leur fais coller les docs au fil du cours pour qu'ils les aient immédiatement à côté des notes. Puis je leur envoie un texte à commenter pour la fois prochaine en lien avec ce qu'ils ont pris en note avec une partie explication de faits purs (qu'ils trouveront dans le cours tiré du vieux manuel) et une autre qui cherche à rattacher des éléments du texte aux notions historiques vues dans le cours (qu'ils trouveront dans leurs prises de notes réalisées pendant le cours).
Après, je ne prétends pas avoir réinventé la poudre et en réalité ils reconstituent une forme de manuel sur leur clef usb, mais l'avantage c'est qu'il est taillé sur mesure pour mon cours puisque c'est moi qui l'ai composé et que cela permet de régler le problème des photocopies. Il faut juste que tous les élèves aient une connexion internet chez eux, ce qui est sans problème le cas dans mon établissement.
Je suis désolé aussi pour les erreurs de syntaxe. J'en ai corrigées, mais je suis très fatigué ces temps-ci.
Ensuite, pendant le cours je leur fais prendre des notes où nous explorons des points du cours pour montrer comment la narration du vieux manuel peut être sujette à des débats en jouant sur l'opposition entre la mémoire (qu'en 5ème je présente un peu abusivement comme un "roman national") et l'histoire (que j'appelle l'atelier de l'historien). A cette occasion, nous commentons en classe des documents iconographiques vidéoprojetés (par exemple en comparant un tableau d'époque et un du XIXème du même événement et en montrant les différences (alors que d'autres servent juste d'illustrations).
Après le cours, je leur envoie les docs qu'ils classent sur une clef usb avec le cours envoyé avant le cours. Pour les plus petites classes, je leur fais coller les docs au fil du cours pour qu'ils les aient immédiatement à côté des notes. Puis je leur envoie un texte à commenter pour la fois prochaine en lien avec ce qu'ils ont pris en note avec une partie explication de faits purs (qu'ils trouveront dans le cours tiré du vieux manuel) et une autre qui cherche à rattacher des éléments du texte aux notions historiques vues dans le cours (qu'ils trouveront dans leurs prises de notes réalisées pendant le cours).
Après, je ne prétends pas avoir réinventé la poudre et en réalité ils reconstituent une forme de manuel sur leur clef usb, mais l'avantage c'est qu'il est taillé sur mesure pour mon cours puisque c'est moi qui l'ai composé et que cela permet de régler le problème des photocopies. Il faut juste que tous les élèves aient une connexion internet chez eux, ce qui est sans problème le cas dans mon établissement.
Je suis désolé aussi pour les erreurs de syntaxe. J'en ai corrigées, mais je suis très fatigué ces temps-ci.
- sookieGrand sage
On ne doit pas vraiment avoir le même profil d'élèves. Au début, je pensais que tu étais en lycée pour fonctionner ainsi mais vu que tu parles de 5e.
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On est belle et on ne se tait pas, on n'est jamais trop vieille pour quoique ce soit
- FeuchtwangerNiveau 9
Je pense effectivement que j'ai des élèves très particuliers. J'ai à la fois des collèges et des lycées. En fait j'ai testé la méthode sur des 5èmes et 4èmes avec des cours sur feuille A4 et cela marche depuis 3 ans.
Pour le lycée, j'ai fait quelques tests sur des dossiers plus gros (une dizaine de pages, mais à intervalles moins régulières) et je vais généraliser ceci avec les nouveaux programmes qui ne laissent plus du tout de temps pour faire du chronologique si l'on veut aller un peu en profondeur.
Pour le lycée, j'ai fait quelques tests sur des dossiers plus gros (une dizaine de pages, mais à intervalles moins régulières) et je vais généraliser ceci avec les nouveaux programmes qui ne laissent plus du tout de temps pour faire du chronologique si l'on veut aller un peu en profondeur.
- ZagaraGuide spirituel
D'accord ; si j'ai bien compris c'est un cours classique (dialogué sur documents), mais encadré par un gros travail à la maison des élèves en amont et en aval.
C'est intéressant ; est-ce qu'un élève qui ne fait pas ses DM peut quand même suivre ? Tu fais quoi quand un élève n'a pas fait la préparation ?
C'est intéressant ; est-ce qu'un élève qui ne fait pas ses DM peut quand même suivre ? Tu fais quoi quand un élève n'a pas fait la préparation ?
- FeuchtwangerNiveau 9
Je pense que tu dirais plus que c'est un cours magistral qu'un cours dialogué, même s'il y des phases de dialogue lors des analyses ponctuelles de documents.
Pour le travail en amont, je dissocie le contenu du cours "en amont" du cours pris en note. Le cours "en amont" fournit des repères chronologiques et des personnalités présentées comme le faisaient les vieux manuels (ou l'histoire en BD Larousse pour te donner un ordre d'idée). Ils ne sont pas nécessaires pour comprendre le cours qui est beaucoup plus thématique. Par exemple, cette semaine, le cours "en amont" présentait une version très 3ème République des exploits de Du Guesclin (son tournoi, son amitié avec Charles V, sa rivalité avec le Prince Noir,...). Ils n'avaient pas besoin des détails pour comprendre le cours "en classe" qui reposait sur deux notions l'invention de la guerilla et la perte de la notion d'honneur dans la guerre (à partir de l'épisode de Pierre le Cruel) et la manière dont les rois cherchent à mettre en place une forme d'ascenseur social pour contourner la féodalité.
L'exploration des notions historiques leur permet de jouer au jeu des 7 erreurs avec le cours de roman national qu'ils avaient lu chez eux et que je leur fait réactiver avec des "Alors dans ce que vous aviez lu, qu'est-ce qui est différent par rapport à la version des historiens"?
Pour ces deux notions, même un élève n'ayant pas lu le cours en amont peut comprendre parce qu'on est dans du thématique et pas du chronologique.
Après, du fait du public, tout le monde fait le travail (à deux trois exceptions près). Comme c'est un investissement pour eux (ils ont quand même une feuille A4 à lire pour la transformer en carte mentale tous les deux cours à peu près), j'autorise à deux absences de rendu dans le trimestre pour qu'ils les utilisent à bon escient s'ils saturent. De toute façon, en début de cours, je leur distribue (ou envoie une version scannée ou corrige au tableau) la correction de la carte mentale du schéma d'acteurs qu'ils mettent au début de leurs prises de notes.
Pour le travail en amont, je dissocie le contenu du cours "en amont" du cours pris en note. Le cours "en amont" fournit des repères chronologiques et des personnalités présentées comme le faisaient les vieux manuels (ou l'histoire en BD Larousse pour te donner un ordre d'idée). Ils ne sont pas nécessaires pour comprendre le cours qui est beaucoup plus thématique. Par exemple, cette semaine, le cours "en amont" présentait une version très 3ème République des exploits de Du Guesclin (son tournoi, son amitié avec Charles V, sa rivalité avec le Prince Noir,...). Ils n'avaient pas besoin des détails pour comprendre le cours "en classe" qui reposait sur deux notions l'invention de la guerilla et la perte de la notion d'honneur dans la guerre (à partir de l'épisode de Pierre le Cruel) et la manière dont les rois cherchent à mettre en place une forme d'ascenseur social pour contourner la féodalité.
L'exploration des notions historiques leur permet de jouer au jeu des 7 erreurs avec le cours de roman national qu'ils avaient lu chez eux et que je leur fait réactiver avec des "Alors dans ce que vous aviez lu, qu'est-ce qui est différent par rapport à la version des historiens"?
Pour ces deux notions, même un élève n'ayant pas lu le cours en amont peut comprendre parce qu'on est dans du thématique et pas du chronologique.
Après, du fait du public, tout le monde fait le travail (à deux trois exceptions près). Comme c'est un investissement pour eux (ils ont quand même une feuille A4 à lire pour la transformer en carte mentale tous les deux cours à peu près), j'autorise à deux absences de rendu dans le trimestre pour qu'ils les utilisent à bon escient s'ils saturent. De toute façon, en début de cours, je leur distribue (ou envoie une version scannée ou corrige au tableau) la correction de la carte mentale du schéma d'acteurs qu'ils mettent au début de leurs prises de notes.
- ZagaraGuide spirituel
Je trouve ambitieux de caser la guerre guerroyante et l'humiliation rituelle dans le programme de 5e mais OK c'est marrant d'enseigner ça au collège...
Donc la chrono de la guerre de cent ans est prise en charge par le travail à la maison, ce qui permet de libérer du temps pour faire en classe des choses plus stimulantes.
Ça montre le gouffre entre ce qu'on peut faire ordinairement et ce qu'on peut faire avec une classe qui bosse. Si t'arrives à donner 3 repères chronos et 2 notions de médiévale à une classe de 5e lambda, t'as déjà réussi ton job.
Donc la chrono de la guerre de cent ans est prise en charge par le travail à la maison, ce qui permet de libérer du temps pour faire en classe des choses plus stimulantes.
Ça montre le gouffre entre ce qu'on peut faire ordinairement et ce qu'on peut faire avec une classe qui bosse. Si t'arrives à donner 3 repères chronos et 2 notions de médiévale à une classe de 5e lambda, t'as déjà réussi ton job.
- FeuchtwangerNiveau 9
Oui j'en suis bien conscient. Après, même avec une classe qui bosse, ils oublient très vite, surtout après les vacances. L'année dernière, j'avais fait pour le dernier cours de l'année un concours en poules à élimination directe sur l'ensemble du programme de l'année passée et il y en avait qui étaient arrivés avec des connaissances assez impressionnantes. Après, en 4ème, beaucoup a été oublié, notamment sur les dates.
Après des mécanismes peuvent être acquis : j'ai un collègue qui a repris une de mes anciennes élèves (très moyenne) et il m'a raconté que quand il lui a raconté le Pont d'Arcole elle s'est spontanément écrié "Monsieur, ça c'est du roman national n'est-ce-pas?"
Je réfléchis à introduire pour l'année prochaine la rédaction d'une sorte de "mémoire de l'élève" en fin d'année où il essaierait de faire un récit de quelques pages sur les événements qui l'auront marqué avec parallèlement un travail plus thématique sur des concepts historiques.
Peut-être aussi fixer pour chaque chapitre une ou deux dates ou personnages sur lesquels ils peuvent être interrogés pendant tout le long de l'année (je fais déjà cela pour les définitions)?
C'est ce qui est rassurant, quelque soit le public, on peut toujours avoir des victoires et toujours se dire qu'on peut faire mieux.
Après des mécanismes peuvent être acquis : j'ai un collègue qui a repris une de mes anciennes élèves (très moyenne) et il m'a raconté que quand il lui a raconté le Pont d'Arcole elle s'est spontanément écrié "Monsieur, ça c'est du roman national n'est-ce-pas?"
Je réfléchis à introduire pour l'année prochaine la rédaction d'une sorte de "mémoire de l'élève" en fin d'année où il essaierait de faire un récit de quelques pages sur les événements qui l'auront marqué avec parallèlement un travail plus thématique sur des concepts historiques.
Peut-être aussi fixer pour chaque chapitre une ou deux dates ou personnages sur lesquels ils peuvent être interrogés pendant tout le long de l'année (je fais déjà cela pour les définitions)?
C'est ce qui est rassurant, quelque soit le public, on peut toujours avoir des victoires et toujours se dire qu'on peut faire mieux.
- BalthamosDoyen
En gros, le cours est lu et appris à la maison pour libérer le temps de classe pour de l'analyse, des activités et des exercices plus stimulants.
Ca fait classe inversée.
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https://www.neoprofs.org/viewtopic.forum?t=124025
Ca fait classe inversée.
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