- CeladonDemi-dieu
http://www.leparisien.fr/societe/notes-du-bac-on-finit-par-surnoter-pour-etre-tranquille-22-06-2019-8100243.php« Cette année, on nous a clairement fait comprendre que l'on s'exposait à un risque d'inspection à la rentrée si l'on ne respectait pas les règles », souffle Louise. « Ce qui est très fréquent, c'est surtout que les plus obstinés ne sont pas rappelés l'an suivant pour les corrections », ajoute François Portzer, lui-même professeur d'histoire et secrétaire général de la Fédération générale autonome des fonctionnaires.
Des copies lues « en diagonale »
Débordé dans cette période d'examen, le ministère de l'Education nationale n'a pas pu répondre à nos questions sur le sujet. Mais qu'il s'agisse de rumeurs ou d'une réalité, « certains profs lassés par toute cette pression lisent désormais les copies en diagonale », rapporte l'un d'eux. Et de conclure : « Même les plus motivés : on finit par surnoter pour être tranquille ».
- Philomène87Grand sage
Je suis très choquée par "doivent se justifier en public". J'espère que le public n'est pas trop nombreux, ni hostile. Je suppose que ça doit être assez humiliant. Enfin je ne sais pas, je crois que je ne mettrais pas en-dessous de 5/20 afin d'éviter ça. Quel carnage !
- KilmenyEmpereur
Le public, ce sont sans doute les autres collègues.
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Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- Philomène87Grand sage
Oui c'est ce que j'avais compris, mais quand même.
Il suffit qu'il y ait dans le lot quelques collègues un peu trop bienveillants, ne supportant pas des notes aussi basses, ou tout simplement des collègues qui ont peur, et paf, tu dois sentir tous les regards sur toi, avec quelques réflexions "oh ben quand même, encore un 5/20 dans votre paquet, une moyenne de 8/20, vous abusez".
Rien qu'en conseil de classe, parfois, il faut voir...
Il suffit qu'il y ait dans le lot quelques collègues un peu trop bienveillants, ne supportant pas des notes aussi basses, ou tout simplement des collègues qui ont peur, et paf, tu dois sentir tous les regards sur toi, avec quelques réflexions "oh ben quand même, encore un 5/20 dans votre paquet, une moyenne de 8/20, vous abusez".
Rien qu'en conseil de classe, parfois, il faut voir...
- Theriakos96Habitué du forum
C'est sidérant, je n'imagine pas ma prof de latin de lycée faire ça, mais vraiment pas mais si je comprends bien, il suffit d'atteindre la moyenne imposée, donc au lieu de transformer les 5 en 8 il suffit de hausser toutes les notes au dessus de 16 d'un point ou deux et voilà le miracle obtenu ! De toute façon transformer un 16 en 18 a moins d'impact que de transformer un 5 en 8, je trouve! C'est ainsi qu'on valorise le travail des élèves non?
- JennyMédiateur
C'est ça. Je préfère valoriser les bonnes copies et mettre des 20.
Je n'ai pas eu à faire ça.Philomène87 a écrit:Je suis très choquée par "doivent se justifier en public". J'espère que le public n'est pas trop nombreux, ni hostile. Je suppose que ça doit être assez humiliant. Enfin je ne sais pas, je crois que je ne mettrais pas en-dessous de 5/20 afin d'éviter ça. Quel carnage !
- Philomène87Grand sage
Mais si on a la malchance de tomber sur beaucoup de mauvaises copies ? Et qu'en plus de cela, on est du genre à ne pas donner les points gratuitement ?
Je n'ai jamais corrigé le bac mais j'imagine que devoir justifier toutes ses mauvaises notes en public (à la limite, je préférerais le faire devant 3 inspecteurs) doit être profondément déstabilisant. Abject. Tout est fait pour faire rentrer les récalcitrants dans le droit chemin.
Je comprends que les correcteurs finissent par "tricher" et distribuer les bonnes notes.
Je n'ai jamais corrigé le bac mais j'imagine que devoir justifier toutes ses mauvaises notes en public (à la limite, je préférerais le faire devant 3 inspecteurs) doit être profondément déstabilisant. Abject. Tout est fait pour faire rentrer les récalcitrants dans le droit chemin.
Je comprends que les correcteurs finissent par "tricher" et distribuer les bonnes notes.
- JennyMédiateur
J'ai eu le cas l'an dernier, de bonnes copies, des copies excellentes et beaucoup de copies indigentes.
Tous les correcteurs étaient dans le même cas, on a insisté pour ne pas relever beaucoup les notes et on a été très attentifs aux livrets. On a fini tard et on a globalement maintenus nos notes. On nous a juste dit plusieurs fois que c'était très embêtant car un lycée avait des notes particulièrement basses.
Tous les correcteurs étaient dans le même cas, on a insisté pour ne pas relever beaucoup les notes et on a été très attentifs aux livrets. On a fini tard et on a globalement maintenus nos notes. On nous a juste dit plusieurs fois que c'était très embêtant car un lycée avait des notes particulièrement basses.
- OlympiasProphète
De toute façon, on ne peut pas mettre à 12 à une copie qui vaut 7. Ou alors si certains le font ...😳
- glucheNiveau 10
Ici, nous n'avons pas de réunion après correction, mais plusieurs personnes m'ont assuré que les copies des paquets aux moyennes les plus basses étaient reprises, voire que les notes étaient parfois remontées arbitrairment (+ 2 points pour tout le monde une année en série ES paraît-il).
Mais rien que la réunion d'harmonisation préalable avec correction de copies tests me semble d'année en année plus insupportable. Le mot "harmonisation", d'ailleurs, est trompeur, les IPR se réunissent avec des gens pensant comme eux qui iront ensuite prêcher les bonne parole auprès de la plèbe des professeurs ordinaires. Et le pire, effectivement, c'est que de plus en plus de collègues cautionnent cette façon de faire, surtout (de ce que j'ai pu constater) ceux qui travaillent auprès de publics peu favorisés, qui réussissent peu: la surnotation est un moyen de faire réussir quand même leurs élèves.
Petit florilège: "Il faut penser à la réaction de l'élève découvrant sa note". "Il faut se dire que cet élève n'a peut-être pas pu être bien préparé, il a peut-être été malade et son professeur absent..." (oui, on nous parle désormais de l'élève - qu'on ne connaît pas - , non de la copie qui est le seul élément objectif d'évaluation), "On peut enlever jusqu'à quatre points pour la syntaxe et l'orthographe. Tous les professeurs n'exigent peut-être pas une langue correcte dans l'année" (en français!) Je suggère de remplacer l'épreuve écrite par un message audio de l'élève présentant sa situation personnelle, la note sera ainsi fonction du pathétique du message .
Et oui, si on ose se permettre un avis quelque peu divergent - mais solidement argumenté - on nous demande, comme par hasard, de rappeler notre nom. Comment ne pas se sentir fiché?
J'essaie de noter honnêtement, sans excès d'un côté ni de l'autre, mais je constate souvent que pour les premières copies ou interrogations orales, je suis un peu déformée par les c****ries que j'ai entendues préalablement et moins à l'aise dans mes corrections et mon jugement. Et en tout cas, je me permets, dans mes annotations, d'écrire ce que je veux (du factuel bien sûr), sans me limiter au vocabulaire restreint des compétences qu'on veut pourtant nous imposer. Moins on est est nuancé dans cette atmosphère étouffante de bienveillance à tous crins, plus la notation monte artificiellement.
Mais rien que la réunion d'harmonisation préalable avec correction de copies tests me semble d'année en année plus insupportable. Le mot "harmonisation", d'ailleurs, est trompeur, les IPR se réunissent avec des gens pensant comme eux qui iront ensuite prêcher les bonne parole auprès de la plèbe des professeurs ordinaires. Et le pire, effectivement, c'est que de plus en plus de collègues cautionnent cette façon de faire, surtout (de ce que j'ai pu constater) ceux qui travaillent auprès de publics peu favorisés, qui réussissent peu: la surnotation est un moyen de faire réussir quand même leurs élèves.
Petit florilège: "Il faut penser à la réaction de l'élève découvrant sa note". "Il faut se dire que cet élève n'a peut-être pas pu être bien préparé, il a peut-être été malade et son professeur absent..." (oui, on nous parle désormais de l'élève - qu'on ne connaît pas - , non de la copie qui est le seul élément objectif d'évaluation), "On peut enlever jusqu'à quatre points pour la syntaxe et l'orthographe. Tous les professeurs n'exigent peut-être pas une langue correcte dans l'année" (en français!) Je suggère de remplacer l'épreuve écrite par un message audio de l'élève présentant sa situation personnelle, la note sera ainsi fonction du pathétique du message .
Et oui, si on ose se permettre un avis quelque peu divergent - mais solidement argumenté - on nous demande, comme par hasard, de rappeler notre nom. Comment ne pas se sentir fiché?
J'essaie de noter honnêtement, sans excès d'un côté ni de l'autre, mais je constate souvent que pour les premières copies ou interrogations orales, je suis un peu déformée par les c****ries que j'ai entendues préalablement et moins à l'aise dans mes corrections et mon jugement. Et en tout cas, je me permets, dans mes annotations, d'écrire ce que je veux (du factuel bien sûr), sans me limiter au vocabulaire restreint des compétences qu'on veut pourtant nous imposer. Moins on est est nuancé dans cette atmosphère étouffante de bienveillance à tous crins, plus la notation monte artificiellement.
- PofekkoNiveau 7
Bonjour,
en SES dans mon académie, le "tas de copies" doit avoir une moyenne d'environ 11/20 à -0,5/+1.
Réunion d'harmonisation avec correction de copies tests le matin, récupération des copies réelles à 14h, harmonisation avec barème puis retour maison.
48h avant notre réunion suivante, nous devons envoyer un fichier excel avec nos notes.
A la seconde réunion, les collègues "déphasés" sont invités à se "rephaser" (désolé pour le terme). Invités, car malgré tout, si le tout se fait en public, je n'ai jamais entendu d'injonctions.
Enfin, nous nous revoyons en jury avec les collègues des autres disciplines, mais là, vous connaissez tous le topo du marché aux points qui s'enclenche.
Bref, le tout avec une bienveillance classique car pour paraphraser mon inspectrice il y a 2 ou 3 ans:
" Quand 90% des élèves ont le bac, l'échec est d'autant plus dur à vivre pour le recalé".
en SES dans mon académie, le "tas de copies" doit avoir une moyenne d'environ 11/20 à -0,5/+1.
Réunion d'harmonisation avec correction de copies tests le matin, récupération des copies réelles à 14h, harmonisation avec barème puis retour maison.
48h avant notre réunion suivante, nous devons envoyer un fichier excel avec nos notes.
A la seconde réunion, les collègues "déphasés" sont invités à se "rephaser" (désolé pour le terme). Invités, car malgré tout, si le tout se fait en public, je n'ai jamais entendu d'injonctions.
Enfin, nous nous revoyons en jury avec les collègues des autres disciplines, mais là, vous connaissez tous le topo du marché aux points qui s'enclenche.
Bref, le tout avec une bienveillance classique car pour paraphraser mon inspectrice il y a 2 ou 3 ans:
" Quand 90% des élèves ont le bac, l'échec est d'autant plus dur à vivre pour le recalé".
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
« Ce qui est très fréquent, c'est surtout que les plus obstinés ne sont pas rappelés l'an suivant pour les corrections », ajoute François Portzer, lui-même professeur d'histoire et secrétaire général de la Fédération générale autonome des fonctionnaires.
- Philomène87Grand sage
Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:« Ce qui est très fréquent, c'est surtout que les plus obstinés ne sont pas rappelés l'an suivant pour les corrections », ajoute François Portzer, lui-même professeur d'histoire et secrétaire général de la Fédération générale autonome des fonctionnaires.
Mince, quel dommage.
- LukNiveau 1
Une question, le brassage est aléatoire ou calculé informatiquement à partir des notes des dossiers scolaires de sorte qu'effectivement chaque paquet doive avoir une moyenne proche.
Si c'est aléatoire c'est ridicule, la probabilité de se retrouver avec un paquet spécialement mauvais n'est pas négligeable et il n'est pas juste envers les autres candidats de relever les notes dudit paquet
Si c'est aléatoire c'est ridicule, la probabilité de se retrouver avec un paquet spécialement mauvais n'est pas négligeable et il n'est pas juste envers les autres candidats de relever les notes dudit paquet
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Si je ne me trompe pas, c'est une moyenne des moyennes (moyenne de paquet) qui est pratiquée. D'une manière ou d'une autre, des collègues avaient démontré ici que le procédé n'était pas pertinent.
- acsyleNiveau 10
Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:« Ce qui est très fréquent, c'est surtout que les plus obstinés ne sont pas rappelés l'an suivant pour les corrections », ajoute François Portzer, lui-même professeur d'histoire et secrétaire général de la Fédération générale autonome des fonctionnaires.
Je suis quelqu'un d'obstiné, j'espère que ma correction du DNB dans quinze jours me vaudra de ne plus être appelé.
C'est un vrai pousse-au-crime à sacquer comme un goret. Je corrigerai pourtant toujours de manière normale, mais là c'est tentant d'être plus sévère que d'habitude, rien que pour ne plus être de correction.
- NLM76Grand Maître
Ouais. Pour ma part, j'ai renoncé à toute résistance. Si je notais honnêtement les copies, j'aurais une moyenne de 03 ou de 04/20. Et je n'aurais personne pour me soutenir. Alors monter de 4 points ou de 8...
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- CatalunyaExpert spécialisé
Il y a 2 ou 3 ans, j'avais eu une moyenne de 5-6 en corrigeant des STI. Je n'ai jamais eu de remontées (pas de commission d’harmonisation chez nous) et je continue de corriger tous les ans.
- Theriakos96Habitué du forum
@NLM76 je pense que c'est peut-être un peu trop sévère de l'autre côté : mes profs (oui je sais, c'est un autre Pays, donc autres habitudes, mais bon) nous disaient qu'il était inadmissible qu'au bac une version en 4h de Tacite soit notée avec une moyenne de 5,5/10 (la moyenne chez nous étant à 6) et que de leur temps la moyenne était de 4 voire moins avec 3h de temps pour même longueur et même difficulté. Je pense aussi qu'il y a des changements structuraux : on essaye d'avoir une moyenne correcte pour ne pas pénaliser pour le goût de le faire. Le vrai problème, à mon avis, n'est pas tant qu'on demande d'hausser les notes, mais que les exigences baissent. Si le niveau était celui de 1950 mais qu'on demandait d'avoir une moyenne de 12, je pense que personne ici n'en serait choqué. Ce qui choque c'est qu'on demande des telles moyennes sur des sujets si simples, ne croyez-vous pas?
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Dicebat Bernardus Carnotensis nos esse quasi nanos, gigantium humeris insidentes, ut possimus plura eis et remotiora videre, non utique proprii visus acumine, aut eminentia corporis, sed quia in altum subvenimur et extollimur magnitudine gigantea.
– Jean de Salisbury, Metalogicon, III, 4
- Philomène87Grand sage
acsyle a écrit:Sylvain de Saint-Sylvain a écrit:« Ce qui est très fréquent, c'est surtout que les plus obstinés ne sont pas rappelés l'an suivant pour les corrections », ajoute François Portzer, lui-même professeur d'histoire et secrétaire général de la Fédération générale autonome des fonctionnaires.
Je suis quelqu'un d'obstiné, j'espère que ma correction du DNB dans quinze jours me vaudra de ne plus être appelé.
C'est un vrai pousse-au-crime à sacquer comme un goret. Je corrigerai pourtant toujours de manière normale, mais là c'est tentant d'être plus sévère que d'habitude, rien que pour ne plus être de correction.
Je pense exactement comme toi.
Je n'écoute jamais les consignes de correction. Je pars du principe que si on nous a convoqués, nous qui corrigeons des copies toute l'année, c'est qu'on nous fait confiance. S'ils ne nous font pas confiance, ils n'ont qu'à pas nous appeler.
Régulièrement je mets moins de 5/20 soit à la partie Histoire, soit à la partie Géographie (ça dépend où se trouve le développement construit). Vite compensé par les 15 ou 18/20 de l'autre partie qui n'est qu'un contrôle de lecture (même pas besoin de reformuler).
- AscagneGrand sage
Je dois évaluer le bac technologique et je trouve qu'il est vraiment donné en français. Avoir 10/20 en ayant répondu aux questions sur corpus en dix lignes, en ayant fait une écriture d'invention d'une page... J'ai eu une STMG et j'ai bien vu qu'il y a des élèves pour lesquels atteindre cela représente une grande difficulté, mais j'ai aussi eu des élèves avec des capacités, mais très paresseux, qui peuvent sans doute atteindre 14 après avoir composé une heure seulement, vu les consignes de correction.
Pour l'oral, on nous a demandé de faire des questions ouvertes, peu de questions de connaissances...
On a demandé à notre coordinatrice de relire toutes les copies ayant moins de 6. Super système.
Pour l'oral, on nous a demandé de faire des questions ouvertes, peu de questions de connaissances...
On a demandé à notre coordinatrice de relire toutes les copies ayant moins de 6. Super système.
- KimberliteExpert
C'est marrant, c'est exactement ce que j'étais en train de me dire! Même en ayant beaucoup de copies, personne n'est à l'abri du lot "particulièrement mauvais" (on peut bien gagner au loto... pour les copies, c'est pareil!)...Luk a écrit:Une question, le brassage est aléatoire ou calculé informatiquement à partir des notes des dossiers scolaires de sorte qu'effectivement chaque paquet doive avoir une moyenne proche.
Si c'est aléatoire c'est ridicule, la probabilité de se retrouver avec un paquet spécialement mauvais n'est pas négligeable et il n'est pas juste envers les autres candidats de relever les notes dudit paquet
Shit happens, comme on dit...
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- Spoiler:
- pseudo-intelloSage
Nul besoin de saquer comme un goretacsyle a écrit:
Je suis quelqu'un d'obstiné, j'espère que ma correction du DNB dans quinze jours me vaudra de ne plus être appelé.
C'est un vrai pousse-au-crime à sacquer comme un goret. Je corrigerai pourtant toujours de manière normale, mais là c'est tentant d'être plus sévère que d'habitude, rien que pour ne plus être de correction.
Noter avec justesse devrait suffire.
- Thierry75Niveau 10
La double correction des copies ayant cinq ou moins est un scandale absolu : où est l'égalité entre les candidats ? Double correction pour tous, ou pour personne.
_________________
Le moi est haïssable.
- Carrie7Niveau 9
Je corrige le bac depuis quelques années, de mon côté on ne m'a jamais demandé d'ajuster des notes, ni en direct ni lors du jury, et je n'ai jamais eu à justifier quoi que ce soit. Y compris pour les moins de 5.
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