- ddalcatelNiveau 9
celinesud a écrit:Dans le dossier de presse, on lit :
Une concertation
technique sur les modalités de mise en oeuvre du nouveau baccalauréat et des évolutions
du lycée débutera en mars 2018. Elle se traduira par de nombreux déplacements du
ministre dans les académies.
Y aura-t-il moyen de faire un peu bouger les choses à ce moment-là ?
Ça m'étonnerait. En général les concertations ne sont là que pour la com. Circulez y a rien à voir, tout est déjà bouclé. Ne surtout pas demander l'avis de la plèbe...
- JPhMMDemi-dieu
Tiens, je sens qu'on va nous ressortir le coup du "la réforme ne sera comprise que si le pouvoir politique sait faire preuve de pédagogie" (= "1. la réforme est bonne, être contre c'est juste être con ; 2. papa va venir expliquer aux petits nenfants ce qui est bien pour eux, parce qu'ils savent pas penser par eux-mêmes").
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ned3379Niveau 2
JPhMM a écrit:Tiens, je sens qu'on va nous ressortir le coup du "la réforme ne sera comprise que si le pouvoir politique sait faire preuve de pédagogie" (= "1. la réforme est bonne, être contre c'est juste être con ; 2. papa va venir expliquer aux petits nenfants ce qui est bien pour eux, parce qu'ils savent pas penser par eux-mêmes").
Voir la vidéo sur YT du Stagirite qui explique très bien ce phénomène de la pédagogie dans son émission Langues de Bois...
- BoubouleDoyen
ddalcatel a écrit:celinesud a écrit:Dans le dossier de presse, on lit :
Une concertation
technique sur les modalités de mise en oeuvre du nouveau baccalauréat et des évolutions
du lycée débutera en mars 2018. Elle se traduira par de nombreux déplacements du
ministre dans les académies.
Y aura-t-il moyen de faire un peu bouger les choses à ce moment-là ?
Ça m'étonnerait. En général les concertations ne sont là que pour la com. Circulez y a rien à voir, tout est déjà bouclé. Ne surtout pas demander l'avis de la plèbe...
C'est vrai mais à ce stade on sait aussi que la plèbe va surtout réclamer plus d'heures partout.
- BRNiveau 9
À mon sens, il peut y avoir un monde entre la spécialité ISN (2 h en Maturité) et un vrai programme d'Informatique (4 h en Première, 6 h en Maturité). La certification ISN garantit que les professeurs qui assurent l'option ISN sont aptes à expliciter le programme de l'option et à encadrer les lycéens dans leur projet; le cadre de l'option autorisant les professeurs encadrant une certaine liberté vis à vis du programme de l'option, qui est très large mais peu profond.gainz a écrit:Bouboule a écrit:BR a écrit:L'habilitation ISN suffira-t-elle pour enseigner le programme de la spécialité informatique ? On passe d'une option de 2 heures en Terminale à 4 heures en Première, 6 heures en Terminale. Je doute que l'habilitation ISN garantisse un niveau suffisant pour enseigner l'Informatique d'après la réforme.Proton a écrit:Avant de créer une filière MI en CPGE, il faudrait déjà recruter des enseignants pour assurer l'informatique en 1e et terminale ...
Et des collègues qui ont l'habilitation ISN ça ne court pas les rues.
Il y aura un effet d'aubaine au départ vu qu'il faut être prêt dans un an.
Tu as vu quelle est la formation de nombre de contractuels qu'on met actuellement en mathématiques en en physique devant des premières et des terminales ?
Ou on va fortement limiter l'ouverture dans un premier temps.
Ah bon? et les 21673 élèves dans 1170 lycées qui suivent ISN en 2017, ils ont une chèvre en face?
Les enjeux sont différents pour une spécialité Informatique qui sera évaluée par contrôle continu sous forme de partielles en janvier et en avril en Première, en décembre en Maturité. C'est un changement très important par rapport à l'évaluation par projet dans la spécialité ISN : le programme devra nécessairement être plus resserré et plus profond que celui de la spécialité ISN. La certification ISN suffit elle vraiment à valider l'aptitude à intervenir dans ce nouveau cadre ?
Chaque matière a un mode de raisonnement et d'analyse des problèmes qui lui sont propres : un mathématicien qui fait de l'Informatique s'intéresse plus naturellement à des problèmes d'Analyse Numérique, un physicien se passionnera pour la Modélisation, un professeur de SI pour les problèmes de Contrôle, quand un informaticien se posera des questions tout à fait différentes.
Les programmes trancheront quand au point de vue adopté : il est tout à fait possible qu'un grand nombre de professeurs qui ont investi l'ISN avec leur point de vue de professeur de Mathématique ou de Physique ne se reconnaissent pas du tout dans ce qui sera proposé. Cela ne signifie pas que ce sont des chèvres, juste qu'ils pourront se retrouver en complet décalage avec ce peut s'avérer l'Informatique une fois élevée au rang de Spécialité, avec un horaire important et de vrais programmes sanctionnés par un véritable examen.
- gainzNiveau 8
BR a écrit:À mon sens, il peut y avoir un monde entre la spécialité ISN (2 h en Maturité) et un vrai programme d'Informatique (4 h en Première, 6 h en Maturité). La certification ISN garantit que les professeurs qui assurent l'option ISN sont aptes à expliciter le programme de l'option et à encadrer les lycéens dans leur projet; le cadre de l'option autorisant les professeurs encadrant une certaine liberté vis à vis du programme de l'option, qui est très large mais peu profond.gainz a écrit:Bouboule a écrit:BR a écrit:
L'habilitation ISN suffira-t-elle pour enseigner le programme de la spécialité informatique ? On passe d'une option de 2 heures en Terminale à 4 heures en Première, 6 heures en Terminale. Je doute que l'habilitation ISN garantisse un niveau suffisant pour enseigner l'Informatique d'après la réforme.
Il y aura un effet d'aubaine au départ vu qu'il faut être prêt dans un an.
Tu as vu quelle est la formation de nombre de contractuels qu'on met actuellement en mathématiques en en physique devant des premières et des terminales ?
Ou on va fortement limiter l'ouverture dans un premier temps.
Ah bon? et les 21673 élèves dans 1170 lycées qui suivent ISN en 2017, ils ont une chèvre en face?
Les enjeux sont différents pour une spécialité Informatique qui sera évaluée par contrôle continu sous forme de partielles en janvier et en avril en Première, en décembre en Maturité. C'est un changement très important par rapport à l'évaluation par projet dans la spécialité ISN : le programme devra nécessairement être plus resserré et plus profond que celui de la spécialité ISN. La certification ISN suffit elle vraiment à valider l'aptitude à intervenir dans ce nouveau cadre ?
Chaque matière a un mode de raisonnement et d'analyse des problèmes qui lui sont propres : un mathématicien qui fait de l'Informatique s'intéresse plus naturellement à des problèmes d'Analyse Numérique, un physicien se passionnera pour la Modélisation, un professeur de SI pour les problèmes de Contrôle, quand un informaticien se posera des questions tout à fait différentes.
Les programmes trancheront quand au point de vue adopté : il est tout à fait possible qu'un grand nombre de professeurs qui ont investi l'ISN avec leur point de vue de professeur de Mathématique ou de Physique ne se reconnaissent pas du tout dans ce qui sera proposé. Cela ne signifie pas que ce sont des chèvres, juste qu'ils pourront se retrouver en complet décalage avec ce peut s'avérer l'Informatique une fois élevée au rang de Spécialité, avec un horaire important et de vrais programmes sanctionnés par un véritable examen.
tout à fait.
Ensuite le programme d'ISN est très vaste ( et infaisable dans sa totalité) la liberté réside dans le choix des notions que le ne va pas traiter( comme tu dis, variable selon la discipline d'origine) plus que dans le projet en lui même. Nous verrons bien comment sont écrits les programmes. Il peut sans problème y avoir un socle en vue de l'examen et une marge de liberté.
Il serait temps de créer un capes d'informatique...
- Ramanujan974Érudit
Il y a un autre aspect à prendre en compte : vous faites tous comme si le prof d'ISN aurait le choix d'enseigner ou non la spécialité informatique.
Je vois bien le CDE dire : "Vous avez l'habilitation ISN, vous allez donc enseigner la spé info.", sans lui laisser le choix.
Formé ou pas, on s'en fout, il se formera sur le tas.
On a pas demandé leur avis aux profs de STI lors de la dernière réforme...
Je vois bien le CDE dire : "Vous avez l'habilitation ISN, vous allez donc enseigner la spé info.", sans lui laisser le choix.
Formé ou pas, on s'en fout, il se formera sur le tas.
On a pas demandé leur avis aux profs de STI lors de la dernière réforme...
- AustrucheerranteHabitué du forum
Je vais peut-être me faire incendier, mais une question me taraude, tout de même : n'est-il pas un peu problématique d'élever l'informatique au rang de spécialité dans un lycée général ? Surtout quand, par définition, cela se fait au détriment des autres matières scientifiques ?
- gainzNiveau 8
C'est essentiel à l'heure actuelle! Pas mal d'ingénieurs dans cette branche et tout à fait à sa place dans un lycée général.
- AustrucheerranteHabitué du forum
Non, mais qu'on puisse se former à l'informatique en école d'ingénieur, ça me semble tout à fait normal et nécessaire.
Par contre, j'ai du mal à concevoir qu'on doive enseigner à des élèves de lycée l'informatique à la place de disons, la physique (ou les SVT). Cela me semble, au mieux, un pis aller.
Après, c'est un littéraire qui parle.
Par contre, j'ai du mal à concevoir qu'on doive enseigner à des élèves de lycée l'informatique à la place de disons, la physique (ou les SVT). Cela me semble, au mieux, un pis aller.
Après, c'est un littéraire qui parle.
- gainzNiveau 8
tout à fait! ça devrait être les 2!! physique ET informatique.
Il suffirait simplement pour cela de réduire ce tronc commun littéraire, bien trop volumineux pour les scientifiques.
Il ne faudrait pas se tromper de problème.
Il suffirait simplement pour cela de réduire ce tronc commun littéraire, bien trop volumineux pour les scientifiques.
Il ne faudrait pas se tromper de problème.
- Pat BÉrudit
Je ne suis pas littéraire, mais je suis d'accord.Austrucheerrante a écrit:Non, mais qu'on puisse se former à l'informatique en école d'ingénieur, ça me semble tout à fait normal et nécessaire.
Par contre, j'ai du mal à concevoir qu'on doive enseigner à des élèves de lycée l'informatique à la place de disons, la physique (ou les SVT). Cela me semble, au mieux, un pis aller.
Après, c'est un littéraire qui parle.
L'informatique, on s'y met assez facilement après bac, surtout si on a des bases solides en maths. Pour moi, ça aurait dû rester une option, ou une matière avec quelques heures seulement.
Pour la majeure partie des lycéens, apprendre l'informatique n'est pas utile, en tout cas pas dans ces volumes-là : qu'il y ait 2-3h par semaine pour comprendre ce que c'est, avoir quelques bases et éventuellement choisir de s'y orienter après le bac, ce serait une bonne chose (pour tous!), mais 6h c'est trop. Alors que les maths, la physique ou les SVT, même si on n'en fait pas son métier, ça a une utilité (la physique et SVT pour comprendre le monde, et les maths comme base pour beaucoup de formations posts-bac et pour former l'esprit -certes l'informatique aussi pour ce dernier point) et ça ouvre davantage de formations post-bac.
Et ce, d'autant plus qu'on n'a pas (ou peu) de profs formés pour enseigner cette matière. Et s'ils espèrent trouver des contractuels, en attendant, payés au lance-pierre, ils peuvent rêver...
- AustrucheerranteHabitué du forum
Pat B a écrit:Je ne suis pas littéraire, mais je suis d'accord.Austrucheerrante a écrit:Non, mais qu'on puisse se former à l'informatique en école d'ingénieur, ça me semble tout à fait normal et nécessaire.
Par contre, j'ai du mal à concevoir qu'on doive enseigner à des élèves de lycée l'informatique à la place de disons, la physique (ou les SVT). Cela me semble, au mieux, un pis aller.
Après, c'est un littéraire qui parle.
L'informatique, on s'y met assez facilement après bac, surtout si on a des bases solides en maths. Pour moi, ça aurait dû rester une option, ou une matière avec quelques heures seulement.
Pour la majeure partie des lycéens, apprendre l'informatique n'est pas utile, en tout cas pas dans ces volumes-là : qu'il y ait 2-3h par semaine pour comprendre ce que c'est, avoir quelques bases et éventuellement choisir de s'y orienter après le bac, ce serait une bonne chose (pour tous!), mais 6h c'est trop. Alors que les maths, la physique ou les SVT, même si on n'en fait pas son métier, ça a une utilité (la physique et SVT pour comprendre le monde, et les maths comme base pour beaucoup de formations posts-bac et pour former l'esprit -certes l'informatique aussi pour ce dernier point) et ça ouvre davantage de formations post-bac.
Et ce, d'autant plus qu'on n'a pas (ou peu) de profs formés pour enseigner cette matière. Et s'ils espèrent trouver des contractuels, en attendant, payés au lance-pierre, ils peuvent rêver...
Voilà. A la rigueur, on pourrait remplacer les deux heures de probable vaste fumisterie de " humanités numériques et scientifiques" par deux heures d'informatique ; et ça permettrait d'arrêter de bassiner les autres profs avec les TICE
Mais bon, ce serait une moins bonne variable d'ajustement des effectifs, n'est-ce pas :|
- ben2510Expert spécialisé
Les TICE n'ont, pour être parfaitement précis, aucun rapport, de près ou de loin, avec la discipline scientifique appelée Informatique.
Il me semble important de le rappeler pour éviter toute confusion.
Il me semble important de le rappeler pour éviter toute confusion.
_________________
On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- gainzNiveau 8
Austrucheerrante a écrit:Pat B a écrit:Je ne suis pas littéraire, mais je suis d'accord.Austrucheerrante a écrit:Non, mais qu'on puisse se former à l'informatique en école d'ingénieur, ça me semble tout à fait normal et nécessaire.
Par contre, j'ai du mal à concevoir qu'on doive enseigner à des élèves de lycée l'informatique à la place de disons, la physique (ou les SVT). Cela me semble, au mieux, un pis aller.
Après, c'est un littéraire qui parle.
L'informatique, on s'y met assez facilement après bac, surtout si on a des bases solides en maths. Pour moi, ça aurait dû rester une option, ou une matière avec quelques heures seulement.
Pour la majeure partie des lycéens, apprendre l'informatique n'est pas utile, en tout cas pas dans ces volumes-là : qu'il y ait 2-3h par semaine pour comprendre ce que c'est, avoir quelques bases et éventuellement choisir de s'y orienter après le bac, ce serait une bonne chose (pour tous!), mais 6h c'est trop. Alors que les maths, la physique ou les SVT, même si on n'en fait pas son métier, ça a une utilité (la physique et SVT pour comprendre le monde, et les maths comme base pour beaucoup de formations posts-bac et pour former l'esprit -certes l'informatique aussi pour ce dernier point) et ça ouvre davantage de formations post-bac.
Et ce, d'autant plus qu'on n'a pas (ou peu) de profs formés pour enseigner cette matière. Et s'ils espèrent trouver des contractuels, en attendant, payés au lance-pierre, ils peuvent rêver...
Voilà. A la rigueur, on pourrait remplacer les deux heures de probable vaste fumisterie de " humanités numériques et scientifiques" par deux heures d'informatique ; et ça permettrait d'arrêter de bassiner les autres profs avec les TICE
Mais bon, ce serait une moins bonne variable d'ajustement des effectifs, n'est-ce pas :|
Ah oui quand même!!elle est jolie celle-là....
- ben2510Expert spécialisé
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On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- VinZTDoyen
Oui, ce serait d'ailleurs assez rigolo (et tout à fait normal) qu'une bonne part de cet enseignement soit théorique, voire même à forte composante mathématique, et que le recours aux ordinateurs ne soit qu'anecdotique.ben2510 a écrit:
Les TICE n'ont, pour être parfaitement précis, aucun rapport, de près ou de loin, avec la discipline scientifique appelée Informatique.
Il me semble important de le rappeler pour éviter toute confusion.
_________________
« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- JPhMMDemi-dieu
Pas besoin d'ordinateur pour faire des TICE.
Petit rappel de l'histoire des TICE :
25 mars 1899 : Première séance publique de cinéma appliqué à l'éducation (Paris, IIe arrondissement).
Petit rappel de l'histoire des TICE :
25 mars 1899 : Première séance publique de cinéma appliqué à l'éducation (Paris, IIe arrondissement).
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- MathadorEmpereur
VinZT a écrit:Oui, ce serait d'ailleurs assez rigolo (et tout à fait normal) qu'une bonne part de cet enseignement soit théorique, voire même à forte composante mathématique, et que le recours aux ordinateurs ne soit qu'anecdotique.ben2510 a écrit:
Les TICE n'ont, pour être parfaitement précis, aucun rapport, de près ou de loin, avec la discipline scientifique appelée Informatique.
Il me semble important de le rappeler pour éviter toute confusion.
La salle de TP avec une poignée de CD4000 aurait son effet aussi. Le lien avec l'informatique ne serait pas évident pour les élèves .
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"There are three kinds of lies: lies, damned lies, and statistics." (cité par Mark Twain)
« Vulnerasti cor meum, soror mea, sponsa; vulnerasti cor meum in uno oculorum tuorum, et in uno crine colli tui.
Quam pulchrae sunt mammae tuae, soror mea sponsa! pulchriora sunt ubera tua vino, et odor unguentorum tuorum super omnia aromata. » (Canticum Canticorum 4:9-10)
- ben2510Expert spécialisé
Ce fil risque de partir en histoires de Boole...
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- VinZTDoyen
… ou en concours de bits.
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« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- chmarmottineGuide spirituel
Avis de la société de mathématiques et industrielles :
http://smai.emath.fr/spip.php?breve227
http://smai.emath.fr/spip.php?breve227
- ben2510Expert spécialisé
Mais pas que, les signataires sont les assos participant à la CFEM, dont l'APMEP.
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- AustrucheerranteHabitué du forum
Bien, sur les TICE, mea culpa. Mais vous avez saisi l'idée.
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