Page 1 sur 2 • 1, 2
- CarnyxNeoprof expérimenté
Le pédagol est une langue qui veut transformer le mauvais en bon, le négatif en positif, le déplaisant en attirant. C’est une langue qui veut empêcher de penser. Ce n’est pas ici une question d’accord entre sujets et verbe mais d’accord entre faits et mots. Il y a à la base une incongruité entre ce qui est dit, ce qui est tu et la réalité. Il y a au moins quatre techniques dans cette novlangue.
1. La première est l’euphémisme (ou l’autre nom du mensonge). Il ne s’agit ici que de tromper et non d’épargner la sensibilité de quelqu’un. Le mot « incivilités » en est le meilleur exemple. Au premier abord, il fleure bon la langue classique, il semble vouloir dire impolitesse, manque de civilité, absence de courtoisie. Ceux qui s’en servent qualifient en réalité des faits qui constituent des délits, alors que « l’incivilité » est inconnue du droit pénal. On évoquera aussi la « réussite différée » des enfants à qui on n’a pas enseigné à lire correctement, le « chahut anomique » ou le « bruit pédagogique » pour le brouhaha constant censé être accepté comme la norme en classe.
2. La deuxième technique est l’usage volontaire d’un jargon pour donner un air de profondeur, de prestige à celui qui l’utilise et à son propos. Le simple apparaît complexe, l’ordinaire profond et l’évident perspicace. Cela consiste à donner un nouveau nom, une nouvelle étiquette à des choses qui sont pourtant identifiées et nommées depuis longtemps. Une piscine devient un « milieu aquatique profond standardisé », un texte à trous « travail sur texte lacunaire pour problématiser en réception l’étude de l’élément linguistique visé. » Un stylo est un « instrument scripteur. » Quand on se sert d’un tel jargon c’est surtout pour bien faire sentir la profonde différence qu’il existerait entre le profane et l’expert, entre le prêtre et le simple croyant.
Le jargon qui s’est répandu dans l’Éducation nationale s’harmonise heureusement avec ses prétentions morales et métaphysiques, qui sont mieux exprimées dans les termes les plus vagues possibles. Bien que vagues, cependant, les termes doivent paraître importants et doivent donner l’impression que si vous et moi ne les comprenons pas clairement, c’est parce que nous ne sommes que des profanes à qui ces mystères n’ont pas été ouverts. Le jargon découle de l’ignorance, mais, une fois constitué, s’établit non pas comme connaissance, bien sûr, car ce serait inviter à la vérification, mais comme sagesse, comme une matière reliée sans doute au cœur et non à la raison. « Il y a une dimension liturgique dans cette langue des clercs » (Loys Bonod) . Nos écoles sont devenues les temples d’une religion à mystères et leurs clercs, des principaux aux recteurs, ont au moins appris le jargon des rituels pour s’adresser aux puissances invisibles.
3. La troisième composante est le charabia. Il s’agit d’empiler les mots, de submerger l’auditoire avec des mots : plus longs ils sont et plus longues sont les phrases, mieux c’est. Les liens de cause à effet, par exemple, n’ont que peu d’importance. L’accumulation valant argument. La juxtaposition valant explication. Accrochez-vous : « Le cours magistral, prépondérant dans le secondaire et le supérieur, ne s’adresse qu’à une minorité d’élèves et provoque une mise en échec des autres. À l’heure du numérique, la motivation des élèves et leur réussite scolaire ne pourra passer que par une multiplicité des pédagogies employées et notamment une différenciation des pratiques : l’égalité n’a jamais été, n’est pas et ne sera jamais dans l’uniformité. L’enseignant est appelé à passer du rôle de soliste à celui d’accompagnateur, aidant ses élèves à trouver, à organiser et à gérer le savoir, “guidant les esprits plutôt que les modelant”. »
On remarquera l’emploi de l’expression « à l’heure de, du, où » qui semble actuellement pouvoir tout justifier. Le polysyllabisme, au moins quatre syllabes, est dans tous les cas chaudement recommandé.
4. Quatrième procédé : la grandiloquence. Il faut faire paraître l’ordinaire extraordinaire, transformer le banal en impressionnant, donner un air d’importance à des gens, des situations ou des choses qui normalement seraient ordinaires. Il faut que le simple paraisse complexe. Souvent, ce genre de procédé est moins difficile à distinguer et est d’habitude ridicule comme « technicien de surface » ou « hôtesse de caisse ».
Dans l’enseignement, l’enflure règne : les « tâches complexes » fleurissent, les leçons deviennent des « séances et des séquences », à moins que ce ne soit l’inverse, le banal et l’évident deviennent découvertes ou carrément réinventions de la roue. La tautologie ne fait pas peur ! On entend ainsi parler de « groupe-classe », de « pédagogie différenciée », de « schémas heuristiques », de « situations d’introduction », de « professionnalisation du métier. » Là encore, l’enfonçage de portes ouvertes est censé procurer une importance à celui qui parle et à ce qu’il évoque.
1. La première est l’euphémisme (ou l’autre nom du mensonge). Il ne s’agit ici que de tromper et non d’épargner la sensibilité de quelqu’un. Le mot « incivilités » en est le meilleur exemple. Au premier abord, il fleure bon la langue classique, il semble vouloir dire impolitesse, manque de civilité, absence de courtoisie. Ceux qui s’en servent qualifient en réalité des faits qui constituent des délits, alors que « l’incivilité » est inconnue du droit pénal. On évoquera aussi la « réussite différée » des enfants à qui on n’a pas enseigné à lire correctement, le « chahut anomique » ou le « bruit pédagogique » pour le brouhaha constant censé être accepté comme la norme en classe.
2. La deuxième technique est l’usage volontaire d’un jargon pour donner un air de profondeur, de prestige à celui qui l’utilise et à son propos. Le simple apparaît complexe, l’ordinaire profond et l’évident perspicace. Cela consiste à donner un nouveau nom, une nouvelle étiquette à des choses qui sont pourtant identifiées et nommées depuis longtemps. Une piscine devient un « milieu aquatique profond standardisé », un texte à trous « travail sur texte lacunaire pour problématiser en réception l’étude de l’élément linguistique visé. » Un stylo est un « instrument scripteur. » Quand on se sert d’un tel jargon c’est surtout pour bien faire sentir la profonde différence qu’il existerait entre le profane et l’expert, entre le prêtre et le simple croyant.
Le jargon qui s’est répandu dans l’Éducation nationale s’harmonise heureusement avec ses prétentions morales et métaphysiques, qui sont mieux exprimées dans les termes les plus vagues possibles. Bien que vagues, cependant, les termes doivent paraître importants et doivent donner l’impression que si vous et moi ne les comprenons pas clairement, c’est parce que nous ne sommes que des profanes à qui ces mystères n’ont pas été ouverts. Le jargon découle de l’ignorance, mais, une fois constitué, s’établit non pas comme connaissance, bien sûr, car ce serait inviter à la vérification, mais comme sagesse, comme une matière reliée sans doute au cœur et non à la raison. « Il y a une dimension liturgique dans cette langue des clercs » (Loys Bonod) . Nos écoles sont devenues les temples d’une religion à mystères et leurs clercs, des principaux aux recteurs, ont au moins appris le jargon des rituels pour s’adresser aux puissances invisibles.
3. La troisième composante est le charabia. Il s’agit d’empiler les mots, de submerger l’auditoire avec des mots : plus longs ils sont et plus longues sont les phrases, mieux c’est. Les liens de cause à effet, par exemple, n’ont que peu d’importance. L’accumulation valant argument. La juxtaposition valant explication. Accrochez-vous : « Le cours magistral, prépondérant dans le secondaire et le supérieur, ne s’adresse qu’à une minorité d’élèves et provoque une mise en échec des autres. À l’heure du numérique, la motivation des élèves et leur réussite scolaire ne pourra passer que par une multiplicité des pédagogies employées et notamment une différenciation des pratiques : l’égalité n’a jamais été, n’est pas et ne sera jamais dans l’uniformité. L’enseignant est appelé à passer du rôle de soliste à celui d’accompagnateur, aidant ses élèves à trouver, à organiser et à gérer le savoir, “guidant les esprits plutôt que les modelant”. »
On remarquera l’emploi de l’expression « à l’heure de, du, où » qui semble actuellement pouvoir tout justifier. Le polysyllabisme, au moins quatre syllabes, est dans tous les cas chaudement recommandé.
4. Quatrième procédé : la grandiloquence. Il faut faire paraître l’ordinaire extraordinaire, transformer le banal en impressionnant, donner un air d’importance à des gens, des situations ou des choses qui normalement seraient ordinaires. Il faut que le simple paraisse complexe. Souvent, ce genre de procédé est moins difficile à distinguer et est d’habitude ridicule comme « technicien de surface » ou « hôtesse de caisse ».
Dans l’enseignement, l’enflure règne : les « tâches complexes » fleurissent, les leçons deviennent des « séances et des séquences », à moins que ce ne soit l’inverse, le banal et l’évident deviennent découvertes ou carrément réinventions de la roue. La tautologie ne fait pas peur ! On entend ainsi parler de « groupe-classe », de « pédagogie différenciée », de « schémas heuristiques », de « situations d’introduction », de « professionnalisation du métier. » Là encore, l’enfonçage de portes ouvertes est censé procurer une importance à celui qui parle et à ce qu’il évoque.
_________________
Of all tyrannies, a tyranny sincerely exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It would be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron’s cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end for they do so with the approval of their own conscience.
- MUTISExpert
Il y a un livre qui analyse ces phénomènes :
La Barbarie douce de JP Le Goff.
Votre analyse s'en inspire-t-elle ?
_________________
"Heureux soient les fêlés car ils laissent passer la lumière" (Audiard)
"Ce n'est pas l'excès d'autorité qui est dangereux, c'est l'excès d'obéissance" (Primo Levi)
"La littérature, quelque passion que nous mettions à le nier, permet de sauver de l'oubli tout ce sur quoi le regard contemporain, de plus en plus immoral, prétend glisser dans l'indifférence absolue" (Enrique Vila-Matas)
" Que les dissemblables soient réunis et de leurs différences jaillira la plus belle harmonie ; rien ne se fait sans lutte." (Héraclite)
"Les hommes sont si nécessairement fous que ce serait être fou par un autre tour de folie, de n'être pas fou" (Pascal).
- AncolieExpert spécialisé
Je suis très agacée, à chaque fois que je vois ce mot pédagol, j'ai un chemin de pensée que je ne semble pas maîtriser qui me mène à Colargol et c'est partie pour la chanson pour un bout de temps!
- CarnyxNeoprof expérimenté
En tout cas, c'est un livre qu'il faut avoir lu pour comprendre la destruction de l'enseignement.MUTIS a écrit:
Il y a un livre qui analyse ces phénomènes :
La Barbarie douce de JP Le Goff.
Votre analyse s'en inspire-t-elle ?
_________________
Of all tyrannies, a tyranny sincerely exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It would be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron’s cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end for they do so with the approval of their own conscience.
- InvitéInvité
Carnyx a écrit:
3. La troisième composante est le charabia. Il s’agit d’empiler les mots, de submerger l’auditoire avec des mots : plus longs ils sont et plus longues sont les phrases, mieux c’est. Les liens de cause à effet, par exemple, n’ont que peu d’importance. L’accumulation valant argument. La juxtaposition valant explication. Accrochez-vous : « Le cours magistral, prépondérant dans le secondaire et le supérieur, ne s’adresse qu’à une minorité d’élèves et provoque une mise en échec des autres. À l’heure du numérique, la motivation des élèves et leur réussite scolaire ne pourra passer que par une multiplicité des pédagogies employées et notamment une différenciation des pratiques : l’égalité n’a jamais été, n’est pas et ne sera jamais dans l’uniformité. L’enseignant est appelé à passer du rôle de soliste à celui d’accompagnateur, aidant ses élèves à trouver, à organiser et à gérer le savoir, “guidant les esprits plutôt que les modelant”. »
On remarquera l’emploi de l’expression « à l’heure de, du, où » qui semble actuellement pouvoir tout justifier. Le polysyllabisme, au moins quatre syllabes, est dans tous les cas chaudement recommandé.
Je pense que vous êtes complètement à côté. Le paragraphe que vous citez est parfaitement clair :
- je ne vois pas où est le "charabia" : aucun mot incompréhensible et aucun néologisme
- le discours est parfaitement clair : le cours magistral est trop uniforme et il faut varier les pratiques pédagogiques. Il s'agit d'un discours militant qui affirme mais il n'y a pas de problème à cela. Le style employé en relève et on pourrait trouver sans problèmes des équivalents dans le discours adverse.
Tout enseignant est parfaitement à même de comprendre ce qui est dit. Tout personne un tant soit peu cultivée aussi.
On est d'accord ou pas avec ce qui est dit mais ce n'est absolument pas un bon exemple de dérive du langage.
- lumeekaExpert spécialisé
Ma fille est en grande section, j'avoue avoir un peu bloqué sur le terme "outil scripteur" l'an dernier mais finalement ce n'est pas si idiot que cela - je le prends comme un terme qui désigne à la fois un stylo, un crayon de papier ou un feutre. :lol:Carnyx a écrit:Un stylo est un « instrument scripteur. » Quand on se sert d’un tel jargon c’est surtout pour bien faire sentir la profonde différence qu’il existerait entre le profane et l’expert, entre le prêtre et le simple croyant.
Beaucoup de professions ont un jargon, quand je travaillais dans le marketing nous parlions de A, B, C1 et C2 (D et E) qui n'ont pas du tout le même sens que celui du CECRL dans l'apprentissage et la maîtrise d'une langue étrangère. Le père de ma fille qui est ingénieur utilise des mots ou des expressions obscures, fait même des blagues que seuls ses collègues peuvent comprendre. D'une matière à l'autre, les enseignants auront eux aussi leur propre jargon - je parle de "warm up", de flashcards, d'EOC, de EOI, de modaux radicaux ou épistémiques, etc...
Quand on fait du sport, on utilise un autre jargon.
Ton point 3 me semble compréhensible.
Tes premiers exemples relèvent du politiquement correct et de ses dérives.Carnyx a écrit:Quatrième procédé : la grandiloquence. Il faut faire paraître l’ordinaire extraordinaire, transformer le banal en impressionnant, donner un air d’importance à des gens, des situations ou des choses qui normalement seraient ordinaires. Il faut que le simple paraisse complexe. Souvent, ce genre de procédé est moins difficile à distinguer et est d’habitude ridicule comme « technicien de surface » ou « hôtesse de caisse ».
Dans l’enseignement, l’enflure règne : les « tâches complexes » fleurissent, les leçons deviennent des « séances et des séquences », à moins que ce ne soit l’inverse, le banal et l’évident deviennent découvertes ou carrément réinventions de la roue. La tautologie ne fait pas peur ! On entend ainsi parler de « groupe-classe », de « pédagogie différenciée », de « schémas heuristiques », de « situations d’introduction », de « professionnalisation du métier. » Là encore, l’enfonçage de portes ouvertes est censé procurer une importance à celui qui parle et à ce qu’il évoque.
En revanche, ceux concernant l'enseignement ne me choquent pas plus que cela. Chapitre, unité = séquence chez moi, cours = séance. "Groupe classe" me semble simple à comprendre (la classe entière plutôt qu'en groupes ou en binômes par exemple), "pédagogie différenciée" aussi (donner des choses plus complexes à faire au élèves plus forts ou plus à l'aise et du travail qui ne découragera pas les plus faibles) et j'encourage la création de cartes mentales. J'imagine que selon tes critères je dois me sentir très importante.
_________________
Animals are my friends... and I don't eat my friends. George Bernard Shaw
https://www.facebook.com/sansvoixpaca/
http://www.nonhumanrightsproject.org/about-us-2/
- 79 airlinesNiveau 9
+1Tamerlan a écrit:Carnyx a écrit:
3. La troisième composante est le charabia. Il s’agit d’empiler les mots, de submerger l’auditoire avec des mots : plus longs ils sont et plus longues sont les phrases, mieux c’est. Les liens de cause à effet, par exemple, n’ont que peu d’importance. L’accumulation valant argument. La juxtaposition valant explication. Accrochez-vous : « Le cours magistral, prépondérant dans le secondaire et le supérieur, ne s’adresse qu’à une minorité d’élèves et provoque une mise en échec des autres. À l’heure du numérique, la motivation des élèves et leur réussite scolaire ne pourra passer que par une multiplicité des pédagogies employées et notamment une différenciation des pratiques : l’égalité n’a jamais été, n’est pas et ne sera jamais dans l’uniformité. L’enseignant est appelé à passer du rôle de soliste à celui d’accompagnateur, aidant ses élèves à trouver, à organiser et à gérer le savoir, “guidant les esprits plutôt que les modelant”. »
On remarquera l’emploi de l’expression « à l’heure de, du, où » qui semble actuellement pouvoir tout justifier. Le polysyllabisme, au moins quatre syllabes, est dans tous les cas chaudement recommandé.
Je pense que vous êtes complètement à côté. Le paragraphe que vous citez est parfaitement clair :
- je ne vois pas où est le "charabia" : aucun mot incompréhensible et aucun néologisme
- le discours est parfaitement clair : le cours magistral est trop uniforme et il faut varier les pratiques pédagogiques. Il s'agit d'un discours militant qui affirme mais il n'y a pas de problème à cela. Le style employé en relève et on pourrait trouver sans problèmes des équivalents dans le discours adverse.
Tout enseignant est parfaitement à même de comprendre ce qui est dit. Tout personne un tant soit peu cultivée aussi.
On est d'accord ou pas avec ce qui est dit mais ce n'est absolument pas un bon exemple de dérive du langage.
- Asha KrakenNeoprof expérimenté
Ancolie a écrit:Je suis très agacée, à chaque fois que je vois ce mot pédagol, j'ai un chemin de pensée que je ne semble pas maîtriser qui me mène à Colargol et c'est partie pour la chanson pour un bout de temps!
"C'est moi qui suis pédagol, l'ours qui chante en fa, en sol !"
Bon sinon je vais encore tenter de pécho Tamerlan , autant le champ lexical usité par le CRAP et ses avatars me hérisse, autant le 3 me semble compréhensible (je suis pas d'accord avec la teneur du truc mais j'ai capté où que le monsieur/ la madame qu'il/qu'elle voulait en venir).
- AncolieExpert spécialisé
J'crois qu'il est déjà maqué, il est trop bienAsha Kraken a écrit:Ancolie a écrit:Je suis très agacée, à chaque fois que je vois ce mot pédagol, j'ai un chemin de pensée que je ne semble pas maîtriser qui me mène à Colargol et c'est partie pour la chanson pour un bout de temps!
"C'est moi qui suis pédagol, l'ours qui chante en fa, en sol !"
Bon sinon je vais encore aller tenter de pécho Tamerlan , autant le champ lexical usité par le CRAP et ses avatars me hérisse, autant le 3 me semble compréhensible (je suis pas d'accord avec la teneur du truc mais j'ai capté où que le monsieur/ la madame qu'il/qu'elle voulait en venir).
- Asha KrakenNeoprof expérimenté
Je sais , en plus on est en guerre pour sa conquête...
- lumeekaExpert spécialisé
Pour calmer vos ardeurs :
_________________
Animals are my friends... and I don't eat my friends. George Bernard Shaw
https://www.facebook.com/sansvoixpaca/
http://www.nonhumanrightsproject.org/about-us-2/
- AncolieExpert spécialisé
Asha Kraken a écrit:Je sais , en plus on est en guerre pour sa conquête...
Votre physique est beaucoup plus avenant, j'ai déjà perdu :lol:
- Thalia de GMédiateur
Il est interdit par la charte d'évoquer le physique comme argument !Ancolie a écrit:Asha Kraken a écrit:Je sais , en plus on est en guerre pour sa conquête...
Votre physique est beaucoup plus avenant, j'ai déjà perdu :lol:
- Spoiler:
- Je confirme néanmoins qu'Asha est bien plus souriante que Tamerlan.
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- AncolieExpert spécialisé
Thalia de G a écrit:Il est interdit par la charte d'évoquer le physique comme argument !Ancolie a écrit:Asha Kraken a écrit:Je sais , en plus on est en guerre pour sa conquête...
Votre physique est beaucoup plus avenant, j'ai déjà perdu :lol:
- Spoiler:
Je confirme néanmoins qu'Asha est bien plus souriante que Tamerlan.
Je parlais de mon physique hélas!!!
- Thalia de GMédiateur
Pardon, je croyais qu'il s'agissait du physique tellement réaliste des avatars. C'est joli un corbeau (ou une corneille, je ne sais pas les distinguer)Ancolie a écrit:Thalia de G a écrit:Il est interdit par la charte d'évoquer le physique comme argument !Ancolie a écrit:
Votre physique est beaucoup plus avenant, j'ai déjà perdu :lol:
- Spoiler:
Je confirme néanmoins qu'Asha est bien plus souriante que Tamerlan.
Je parlais de mon physique hélas!!!
_________________
Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- AncolieExpert spécialisé
Thalia de G a écrit:Pardon, je croyais qu'il s'agissait du physique tellement réaliste des avatars. C'est joli un corbeau (ou une corneille, je ne sais pas les distinguer)Ancolie a écrit:Thalia de G a écrit:
Il est interdit par la charte d'évoquer le physique comme argument !
- Spoiler:
Je confirme néanmoins qu'Asha est bien plus souriante que Tamerlan.
Je parlais de mon physique hélas!!!
Je crois que c'est un grand corbeau, mais ce n'est pas ma photo donc c'est difficile. Déjà ce n'est pas un corbeau freux (ils n'ont pas de plumes sur le bec).
Oui je parlais aussi des avatars, punaise je pige que dalle, ce doit être le colargol :lol:
- InvitéInvité
Je me demande si on ne ressent pas déjà les effets du printemps dans ce forum !
- AncolieExpert spécialisé
Tamerlan a écrit:Je me demande si on ne ressent pas déjà les effets du printemps dans ce forum !
:aaz:
- ysabelDevin
Tamerlan a écrit:Je me demande si on ne ressent pas déjà les effets du printemps dans ce forum !
Printemps ? Printemps ? non mais tu as vu le temps de merde !
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- InvitéInvité
ysabel a écrit:Tamerlan a écrit:Je me demande si on ne ressent pas déjà les effets du printemps dans ce forum !
Printemps ? Printemps ? non mais tu as vu le temps de merde !
Tu as vu où tu habites ?!
- ysabelDevin
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
Page 1 sur 2 • 1, 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum