Rendez-vous de carrière : mail aux vacances de Toussaint

Bonjour,
J'ai reçu le 27 octobre un mail stipulant qu j'étais éligible à un rendez-vous de carriere pour l'année 2017-2018.
Ces mails n'étaient pas censés arriver au début de l'été?
Suis-je la seule dans cette situation?
Merci d'avance pour vos réponses!

Effectivement, ce n'est pas normal.
Je suis dans la même académie que toi. J'ai reçu ce mail début juillet. Une collègue de mon collège, qui enseigne la même discipline que toi, a également reçu ce mail cet été.
Mi-octobre, j'ai reçu un nouveau mail pour me proposer les dates du rendez-vous (inspection + entretiens).

Contacte éventuellement ton IPR et un syndicat.


Edit : Un reclassement tardif explique-t-il l'envoi lui-même tardif de ce mail ?

Je l'ai reçu début octobre.

Merci pour vos réponses! Je vais me renseigner à la reprise !

Je profite de ce sujet pour poser une question qui me turlupine : peut-on refuser de subir ces rendez-vous ?

Non ! Ne surtout pas refuser !...

Pourquoi ?

Parce que https://www.neoprofs.org/t114143-entretien-ppcr-refuser-un-inspecteur?highlight=refuser

Je te remercie pour le lien, il me semblait bien que cela avait déjà abordé. Cependant le texte cité concerne les refus d'inspection, peut-il s'appliquer au refus de rendez-vous ?

Absolument !!

Je suis éligible aussi (2ème année du 9 depuis le 1er septembre) mais: pas de mail au début de l'été, et pas de mail du tout d'ailleurs. A votre avis, je fais quoi, je réclame (vraie question) ?

Non, inutile de réclamer... Ce va venir ne t'inquiètes pas !

Ce qui m'inquiète, c'est les conditions dans lesquelles on travaille dans mon établissement, pas la venue de l'IPR !

Dans mon cas c'est une mascarade, je n'ai strictement rien à gagner et espère m'en tirer avec zero travail (aucun document rempli par moi) et en évitant tout stress ; j'envisage les entretiens obligatoires en mode muet : laisser parler l'autre, répondre « et vous qu'en pensez-vous ? » à toute question, prendre des notes en faisant tout répéter pour gagner du temps, mais je ne voudrais pas non plus qu'on s'inquiète au point de m'envoyer en «rééducation».