- CeladonDemi-dieu
https://www.challenges.fr/emploi/du-mammouth-au-titanic-le-naufrage-de-l-education-nationale-raconte-par-une-prof-de-philo_507811#xtor=CS3-89-[%22Du%20mammouth%20au%20Titanic%22%2C%20le%20naufrage%20de%20l%E2%80%99Education%20nationale%20racont%C3%A9%20par%20une%20prof%20de%20philo]
A coups de scènes rapportées, compilation d'années d'enseignements dans des lycées de ZEP ou de campagne, Anne-Sophie Nogaret décrit le renversement des valeurs à l'œuvre dans les établissements qu'elle a fréquentés. "Une école cauchemar" où, en cas d'altercation, la parole de l'élève est placée sur un pied d'égalité avec celle du prof. Des établissements dont les directeurs et CPE "achètent la petite paix sociale au prix de compromissions et de courbage d'échine", le tout encouragé par un rectorat où l'on "vénère plus que tout au monde la loi du silence".
- HocamSage
Il me semble qu'il faut rendre le titre plus explicite. Et il y a déjà un fil sur la prose d'Anne-Sophie Nogaret : https://www.neoprofs.org/t113680-anne-sophie-nogaret-la-mentalite-de-cite-se-repand-a-l-ecole-article-le-figaro
- pseudo-intelloSage
Un passage de l'article me fait douter de la crédibilité générale du livre (c'est dommage, le reste me paraîssait pertinent) :
Les professeurs eux-mêmes ne sont pas épargnés. La petite typologie que l'auteure fait de ses confrères enseignants est assez piquante. Dans la salle des profs on trouve pêle-mêle "le reliquat des 70's : celui-ci continue à jouer de la guitare le week-end avec ses potes et ne manque jamais de fustiger la police et l'armée", "le prof furtif", celui qui "vogue de congé maladie en congé maladie" et qui atteint "pas trop fatigué les rives de la retraite", ou encore "la gentille organisatrice", caractérisée par un inépuisable enthousiasme pour les goûters conviviaux en salle des profs, s'éloignant ostensiblement de toute forme de vie intellectuelle.
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- RabelaisVénérable
J'en suis vraiment peinée mais ce que je lis là n'est ni caricatural, ni inventé...et encore, je trouve cela plutôt modéré. :triste4:pseudo-intello a écrit:Un passage de l'article me fait douter de la crédibilité générale du livre (c'est dommage, le reste me paraîssait pertinent) :
Les professeurs eux-mêmes ne sont pas épargnés. La petite typologie que l'auteure fait de ses confrères enseignants est assez piquante. Dans la salle des profs on trouve pêle-mêle "le reliquat des 70's : celui-ci continue à jouer de la guitare le week-end avec ses potes et ne manque jamais de fustiger la police et l'armée", "le prof furtif", celui qui "vogue de congé maladie en congé maladie" et qui atteint "pas trop fatigué les rives de la retraite", ou encore "la gentille organisatrice", caractérisée par un inépuisable enthousiasme pour les goûters conviviaux en salle des profs, s'éloignant ostensiblement de toute forme de vie intellectuelle.
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- Lord StevenExpert
pseudo-intello a écrit:Un passage de l'article me fait douter de la crédibilité générale du livre (c'est dommage, le reste me paraîssait pertinent) :
Les professeurs eux-mêmes ne sont pas épargnés. La petite typologie que l'auteure fait de ses confrères enseignants est assez piquante. Dans la salle des profs on trouve pêle-mêle "le reliquat des 70's : celui-ci continue à jouer de la guitare le week-end avec ses potes et ne manque jamais de fustiger la police et l'armée", "le prof furtif", celui qui "vogue de congé maladie en congé maladie" et qui atteint "pas trop fatigué les rives de la retraite", ou encore "la gentille organisatrice", caractérisée par un inépuisable enthousiasme pour les goûters conviviaux en salle des profs, s'éloignant ostensiblement de toute forme de vie intellectuelle.
Effectivement la présentation me semble egalement ridicule, voire stupide. Un groupe de 100 personnes sera constitué d'autant d'individualités, donc cette femme aurait pu continuer ses descriptions un brin caricaturales à l'envi. Peut-être estime-t-elle que le corps professoral doit être constitué de personnes coulées dans le même moule, celui qui lui siérait.
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If you play with a cat, you should mind his scratch
- CasparProphète
Rabelais a écrit:J'en suis vraiment peinée mais ce que je lis là n'est ni caricatural, ni inventé...et encore, je trouve cela plutôt modéré. :triste4:pseudo-intello a écrit:Un passage de l'article me fait douter de la crédibilité générale du livre (c'est dommage, le reste me paraîssait pertinent) :
Les professeurs eux-mêmes ne sont pas épargnés. La petite typologie que l'auteure fait de ses confrères enseignants est assez piquante. Dans la salle des profs on trouve pêle-mêle "le reliquat des 70's : celui-ci continue à jouer de la guitare le week-end avec ses potes et ne manque jamais de fustiger la police et l'armée", "le prof furtif", celui qui "vogue de congé maladie en congé maladie" et qui atteint "pas trop fatigué les rives de la retraite", ou encore "la gentille organisatrice", caractérisée par un inépuisable enthousiasme pour les goûters conviviaux en salle des profs, s'éloignant ostensiblement de toute forme de vie intellectuelle.
Tu trouves vraiment ? Parce que moi au contraire je n'ai croisé aucun des professeurs décrits dans une salle des profs (et les "reliquats des 70s" doivent être à lé retraite non ?)
- JPhMMDemi-dieu
"... ou encore celle qui gagne de l'argent en écrivant des textes pour se moquer de ses collègues de salle des profs."pseudo-intello a écrit:Un passage de l'article me fait douter de la crédibilité générale du livre (c'est dommage, le reste me paraîssait pertinent) :
Les professeurs eux-mêmes ne sont pas épargnés. La petite typologie que l'auteure fait de ses confrères enseignants est assez piquante. Dans la salle des profs on trouve pêle-mêle "le reliquat des 70's : celui-ci continue à jouer de la guitare le week-end avec ses potes et ne manque jamais de fustiger la police et l'armée", "le prof furtif", celui qui "vogue de congé maladie en congé maladie" et qui atteint "pas trop fatigué les rives de la retraite", ou encore "la gentille organisatrice", caractérisée par un inépuisable enthousiasme pour les goûters conviviaux en salle des profs, s'éloignant ostensiblement de toute forme de vie intellectuelle.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- RabelaisVénérable
Si, si , ils ne sont pas en retraite et ce sont mes préférés, je les adore.Caspar Goodwood a écrit:Rabelais a écrit:J'en suis vraiment peinée mais ce que je lis là n'est ni caricatural, ni inventé...et encore, je trouve cela plutôt modéré. :triste4:pseudo-intello a écrit:Un passage de l'article me fait douter de la crédibilité générale du livre (c'est dommage, le reste me paraîssait pertinent) :
Les professeurs eux-mêmes ne sont pas épargnés. La petite typologie que l'auteure fait de ses confrères enseignants est assez piquante. Dans la salle des profs on trouve pêle-mêle "le reliquat des 70's : celui-ci continue à jouer de la guitare le week-end avec ses potes et ne manque jamais de fustiger la police et l'armée", "le prof furtif", celui qui "vogue de congé maladie en congé maladie" et qui atteint "pas trop fatigué les rives de la retraite", ou encore "la gentille organisatrice", caractérisée par un inépuisable enthousiasme pour les goûters conviviaux en salle des profs, s'éloignant ostensiblement de toute forme de vie intellectuelle.
Tu trouves vraiment ? Parce que moi au contraire je n'ai croisé aucun des professeurs décrits dans une salle des profs (et les "reliquats des 70s" doivent être à lé retraite non ?)
Je m'étonne que vous ne les ayez pas encore rencontrés, je n'ai fait que trois SDP et les ai rencontrés dans les trois.
Mais je les trouve très sympathiques, ceux-là.
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- RabelaisVénérable
JPhMM a écrit:"... ou encore celle qui gagne de l'argent en écrivant des textes pour se moquer de ses collègues de salle des profs."pseudo-intello a écrit:Un passage de l'article me fait douter de la crédibilité générale du livre (c'est dommage, le reste me paraîssait pertinent) :
Les professeurs eux-mêmes ne sont pas épargnés. La petite typologie que l'auteure fait de ses confrères enseignants est assez piquante. Dans la salle des profs on trouve pêle-mêle "le reliquat des 70's : celui-ci continue à jouer de la guitare le week-end avec ses potes et ne manque jamais de fustiger la police et l'armée", "le prof furtif", celui qui "vogue de congé maladie en congé maladie" et qui atteint "pas trop fatigué les rives de la retraite", ou encore "la gentille organisatrice", caractérisée par un inépuisable enthousiasme pour les goûters conviviaux en salle des profs, s'éloignant ostensiblement de toute forme de vie intellectuelle.
Pour une fois, je ne suis pas entièrement d'accord. Je ne vois pas pourquoi il n'y aurait aucune critique sur l'état de la profession et les travers des collegues, qui, parfois, donnent une bien piètre image de la profession.
Souvent, très souvent, l'envie de démissionner m'étreint ...et les collegues n'y sont pas pour rien.
Aussi je trouve cette " caricature " plutôt gentille par rapport à la réalité.
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- Reine MargotDemi-dieu
Ce que je crains c'est que dans des revues comme Challenges, ce constat très vrai ne serve qu'à montrer que le dervice public d'éducation, ça ne marche pas, vive le privé!
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- InstantKarmaNiveau 6
Il faut reconnaître qu’à faire dans la typologie des profs, on pourrait rire de nous-mêmes.
Celle qui ne fait jamais, au grand jamais grève, celui qui n’a « jamais de problème » avec ses classes, celui qui est tout le temps en sortie scolaire, celle qui fait le catéchisme et la chorale des gnenfants dans le « civil », celle qui se change deux fois par jour pour bien montrer qu’elle n’a pas de soucis d’argent, etc.
Un nouveau fil dans la section humour ?
Celle qui ne fait jamais, au grand jamais grève, celui qui n’a « jamais de problème » avec ses classes, celui qui est tout le temps en sortie scolaire, celle qui fait le catéchisme et la chorale des gnenfants dans le « civil », celle qui se change deux fois par jour pour bien montrer qu’elle n’a pas de soucis d’argent, etc.
Un nouveau fil dans la section humour ?
- CasparProphète
InstantKarma a écrit:Il faut reconnaître qu’à faire dans la typologie des profs, on pourrait rire de nous-mêmes.
Celle qui ne fait jamais, au grand jamais grève, celui qui n’a « jamais de problème » avec ses classes, celui qui est tout le temps en sortie scolaire, celle qui fait le catéchisme et la chorale des gnenfants dans le « civil », celle qui se change deux fois par jour pour bien montrer qu’elle n’a pas de soucis d’argent, etc.
Un nouveau fil dans la section humour ?
Alors là ok, je connais, j'ai des noms.
- RabelaisVénérable
Comme le souligne très justement LordSeven, c'est une centaine de profils que l'on peut répertorier.
Mais je reste certaine qu'ils seraient récurrents,spécificité de la profession et conditions de travail obligent.
@InstantKarma, je n'ai pas dans mes tablettes la collègue de la chorale ( on ne peut pas tous les avoir ).
Je répertorie un groupe : celui des collègues qui se croient encore lycéens " les populaires", en clair, ceux qui crient ,qui rient, qui parlent le plus fort en SDP et qui sont toujours désagréables ou hautains avec les autres, fussent-ils leurs collègues depuis dix ans.
Mais je reste certaine qu'ils seraient récurrents,spécificité de la profession et conditions de travail obligent.
@InstantKarma, je n'ai pas dans mes tablettes la collègue de la chorale ( on ne peut pas tous les avoir ).
Je répertorie un groupe : celui des collègues qui se croient encore lycéens " les populaires", en clair, ceux qui crient ,qui rient, qui parlent le plus fort en SDP et qui sont toujours désagréables ou hautains avec les autres, fussent-ils leurs collègues depuis dix ans.
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- RendashBon génie
pseudo-intello a écrit:Un passage de l'article me fait douter de la crédibilité générale du livre (c'est dommage, le reste me paraîssait pertinent) :
Les professeurs eux-mêmes ne sont pas épargnés. La petite typologie que l'auteure fait de ses confrères enseignants est assez piquante. Dans la salle des profs on trouve pêle-mêle "le reliquat des 70's : celui-ci continue à jouer de la guitare le week-end avec ses potes et ne manque jamais de fustiger la police et l'armée", "le prof furtif", celui qui "vogue de congé maladie en congé maladie" et qui atteint "pas trop fatigué les rives de la retraite", ou encore "la gentille organisatrice", caractérisée par un inépuisable enthousiasme pour les goûters conviviaux en salle des profs, s'éloignant ostensiblement de toute forme de vie intellectuelle.
J'espère qu'il y a autre chose dans son bouquin. Parce que sur les échantillons que j'ai lus, je vois une Furina qui saurait écrire.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- JPhMMDemi-dieu
Je comprends, mais en quoi un collègue qui fait de la guitare et qui fustige la police et l'armée est-il critiquable ? En quoi un prof dit "furtif" (cela signifie quoi ? il n'est pas furtif vis-à-vis de ses élèves, il peut d'ailleurs être un excellent enseignant, peu importe qu'il n'ait pas envie de sociabiliser dans la salle des profs) est-il critiquable ? Ce sont deux exemples que je trouverais fort sympathiques.Rabelais a écrit:JPhMM a écrit:"... ou encore celle qui gagne de l'argent en écrivant des textes pour se moquer de ses collègues de salle des profs."pseudo-intello a écrit:Un passage de l'article me fait douter de la crédibilité générale du livre (c'est dommage, le reste me paraîssait pertinent) :
Les professeurs eux-mêmes ne sont pas épargnés. La petite typologie que l'auteure fait de ses confrères enseignants est assez piquante. Dans la salle des profs on trouve pêle-mêle "le reliquat des 70's : celui-ci continue à jouer de la guitare le week-end avec ses potes et ne manque jamais de fustiger la police et l'armée", "le prof furtif", celui qui "vogue de congé maladie en congé maladie" et qui atteint "pas trop fatigué les rives de la retraite", ou encore "la gentille organisatrice", caractérisée par un inépuisable enthousiasme pour les goûters conviviaux en salle des profs, s'éloignant ostensiblement de toute forme de vie intellectuelle.
Pour une fois, je ne suis pas entièrement d'accord. Je ne vois pas pourquoi il n'y aurait aucune critique sur l'état de la profession et les travers des collegues, qui, parfois, donnent une bien piètre image de la profession.
Souvent, très souvent, l'envie de démissionner m'étreint ...et les collegues n'y sont pas pour rien.
Aussi je trouve cette " caricature " plutôt gentille par rapport à la réalité.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- RendashBon génie
celui qui "vogue de congé maladie en congé maladie" et qui atteint "pas trop fatigué les rives de la retraite"
Et là, je zorcharterais volontiers, au nom de tous ces fainéants qui accumulent chutes et rechutes de dépressions diverses et de cancers variés pour se la couler douce en attendant la retraite.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- JPhMMDemi-dieu
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- gauvain31Empereur
Rabelais a écrit:J'en suis vraiment peinée mais ce que je lis là n'est ni caricatural, ni inventé...et encore, je trouve cela plutôt modéré. :triste4:pseudo-intello a écrit:Un passage de l'article me fait douter de la crédibilité générale du livre (c'est dommage, le reste me paraîssait pertinent) :
Les professeurs eux-mêmes ne sont pas épargnés. La petite typologie que l'auteure fait de ses confrères enseignants est assez piquante. Dans la salle des profs on trouve pêle-mêle "le reliquat des 70's : celui-ci continue à jouer de la guitare le week-end avec ses potes et ne manque jamais de fustiger la police et l'armée", "le prof furtif", celui qui "vogue de congé maladie en congé maladie" et qui atteint "pas trop fatigué les rives de la retraite", ou encore "la gentille organisatrice", caractérisée par un inépuisable enthousiasme pour les goûters conviviaux en salle des profs, s'éloignant ostensiblement de toute forme de vie intellectuelle.
Je plussoie . Après 17 établissements fréquentés (9 lycées, 7 collèges et un ITEP) je confirme une telle sociologie de la salle des profs. Mais il ne faut pas oublier les collègues sérieux, exigeants, qui n'essaient pas de se faire voir et qui se caractérisent par leur discrétion et leur humilité. Par contre, la proportion relative de ces types d'enseignants varie beaucoup en fonction de l'établissement fréquenté.
- JPhMMDemi-dieu
Elle a oublié les fumeurs qui sont bien contents d'avoir une excuse de ne pas mettre les pieds dans la salle des profs.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- gauvain31Empereur
Rendash a écrit:celui qui "vogue de congé maladie en congé maladie" et qui atteint "pas trop fatigué les rives de la retraite"
Et là, je zorcharterais volontiers, au nom de tous ces fainéants qui accumulent chutes et rechutes de dépressions diverses et de cancers variés pour se la couler douce en attendant la retraite.
Quand ils ont la chance d'y arriver .....
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