- sifiÉrudit
Donc, je remercie énormément Lilizaza, qui a trouvé l'extrait. C'est amusant, nous avions pensé au même toutes les deux, et elle a été plus rapide que moi pour le découpage.
Donc ce sera "L'Education Sentimentale", II, 1, p. 198-199, de "Un vieux beau" jusqu'à "la contredanse".
Le sujet étant "L'adjectif".
Début de semaine, il faudra qqn d'autre pour proposer un sujet!!
Donc ce sera "L'Education Sentimentale", II, 1, p. 198-199, de "Un vieux beau" jusqu'à "la contredanse".
Le sujet étant "L'adjectif".
Début de semaine, il faudra qqn d'autre pour proposer un sujet!!
- LiliZazaNiveau 5
Cool ! Je viens tout juste de t'envoyer un MP à ce propos. Je n'avais pas vu ce fil. Merci à toi aussi pour ton initiative!
Au travail donc !
Au travail donc !
- Machin-truc-biduleNiveau 2
Pour quand, ce travail?
- nathamooreaNiveau 1
Flûte... J'avais compris que ce serait sur Montaigne... Tant pis, je jouerai une prochaine fois... Bon courage à vous !
- InvitéInvité
Machin-truc-bidule a écrit:Pour quand, ce travail?
Ce soir théoriquement. J'avais prévenu que pour moi, ce serait demain.
Le premier qui l'a traité le dépose ici, et ainsi de suite. Ce serait bien de le mettre en spoiler, comme ça, ceux qui ne veulent pas lire ne lisent pas avant d'avoir bossé eux-mêmes.
Merci Sifi !
- Felix-icisNiveau 4
Terminé mais je le mettrai demain alors, car je ne sais pas mettre des spoilers encore (le boulet). Je regarderai demain après-midi.
_________________
"Let the wild rumpus start"
- mariecapbNiveau 3
Étant encore sur la route , je posterai ma participation demain soir. Il faut aussi que j'apprenne à mettre des spoilers ! Merci Sifi et Lilizaza pour votre proposition de sujet! Je veux bien me charger du prochain.
- *Fifi*Modérateur
Pour les spoiler, vous cliquez sur l'icône avec un petit carnet et un panneau triangulaire jaune. (Deux apres celui de la bulle). Ou alors vous écrivez [spoiler ] au début de votre message et [/spoiler ] à la fin. (Sans l'espace).
_________________
Pour accéder à la banque de données en HG, merci de lire le règlement ici :
https://www.neoprofs.org/t36320-bdd-hg-reglement
- amarineNiveau 4
Bonjour,
je viens de chercher pour le spoiler, c'est la petite icône avec le panneau attention, au milieu de la première ligne. Et je reviens pour poster mon travail...
Une remarque, j'ai modifié les limites du texte, me contentant d'une vingtaine d'occurrences.
Merci Sifi d'avoir lancé les exercices, et Mariecapb de poursuivre, je me serais proposée - la semaine suivante peut-être alors.
je viens de chercher pour le spoiler, c'est la petite icône avec le panneau attention, au milieu de la première ligne. Et je reviens pour poster mon travail...
Une remarque, j'ai modifié les limites du texte, me contentant d'une vingtaine d'occurrences.
Merci Sifi d'avoir lancé les exercices, et Mariecapb de poursuivre, je me serais proposée - la semaine suivante peut-être alors.
- amarineNiveau 4
L'Education sentimentale page 198 grammaire, l'adjectif
Je me suis arrêtée à la ligne 16 "sur sa tabatière", faisant quelques incursions au-delà pour des occurrences intéressantes non représentées dans mon corpus.
La mise en page (couleur, caractères gras...) saute quand on copie/colle....
Je me suis arrêtée à la ligne 16 "sur sa tabatière", faisant quelques incursions au-delà pour des occurrences intéressantes non représentées dans mon corpus.
La mise en page (couleur, caractères gras...) saute quand on copie/colle....
- Spoiler:
L’ADJECTIF est une catégorie syntaxique
-dépendante d’un support nominal auquel il ajoute une information (l’adjectif ne s’emploie pas seul) : l’accord en genre et en nombre marque cette dépendance
-hétérogène : elle comprend des classifiants (qui expriment une propriété objective) et des non classifiants (qui caractérisent de manière subjective)
-hétérogène dans ses fonctions : à l’intérieur du GN (épithète), en structure détachée, à l’intérieur du groupe verbal avec un verbe d’état (fonction attribut du sujet, de l’objet – rôle prédicatif de l’adjectif)
-il admet le degré
On envisagera les occurrences de l’adjectif dans ce texte selon leur fonction syntaxique : d’abord l’épithète, avec la question de sa place par rapport au nom, ensuite l’apposition, et enfin, nous montrerons la porosité de cette catégorie syntaxique avec celle du nom.
légende de cet exercice :
classement / rapides explications / adjectif relevé et nom caractérisé
1.fonction épithète
exprime une propriété constante ; sa place est variable
=>adjectif postposé : la place la plus courante en français moderne -
*des bottes molles à éperons d’or l.4
*adjectif classifiant
dont adjectif de relation, tjs postposé, n’admet pas le degré
*comme un doge vénitien (l1)
et adjectif de couleur toujours postposé
*un habit vert ; *de soie pourpre (l.2)*une Suissesse aux yeux bleus (l.6) *corset rouge * un habit noir grotesquement large l.14-15
* Suissesse (…) blanche comme du lait *potelée comme une caille l.6-7 : adjectif ici tête du groupe adjectival
*selon le principe de prosodie (volumes croissants)
*en femme sauvage l.10
*un habit noir grotesquement large l.14-15 =>ici l’adjectif est modifié par l’adverbe, donc le groupe « grotesquement large » est plus long, donc postposé
=>adjectif antéposé au nom
*un vieux beau ; *une grande blonde
=>principe de prosodie : le nom est suivi d’un CDN : les groupes sont répartis selon leur volume
*une haute gerbe en plumes de paon (l.13) ; *d’une longue simarre de soie pourpre
2.fonction apposition (structure détachée)
exprime une propriété transitoire, l’apposition étant un acte second d’énonciation
*un vieux beau, vêtu (…) d’une…
*une grande blonde, marcheuse à l’opéra l.9-10
*un Pritchard, affublé d’un habit..l.14
3.cas particuliers : adjectif substantivé
*un vieux beau – expression quasi lexicalisée - figée, tour dépréciatif
*une grande blonde
=>la qualité est érigée en principe d’identité : dérivation impropre – l’adjectif passe dans la catégorie du nom ; on peut imaginer aussi qu’il y ait eu ellipse du nom avant que le tour ne se fige (une – femme – blonde / une – femme- brune)
+l.24-258 qui gambadait très haut – adjectif « haut » ici employé comme adverbe par dérivation impropre : invariable, exprime la manière
fonction attribut non représentée dans le passage redélimité
adjectif prédicatif dans ce cas – fait partie du groupe verbal : donne l’information essentielle sur le sujet par la médiation du verbe être.
quelques occurrences en haut de la page 199
*comme elle se trouvait riche maintenant l.28
*sa mine pâle semblait plus insolente encore….
conclusion :
*variété, hétérogénéité représentative dans ce texte de la catégorie de l’adjectif
*un texte riche en adjectifs, principalement en fonction épithète, un moyen de la caractérisation, témoignant de son type descriptif.
- Felix-icisNiveau 4
- Spoiler:
L’adjectif
L’éducation sentimentale partie II,1 p 198-199
Introduction
Il a fallu attendre le XVIIIème siècle pour que les grammairiens séparent les adjectifs des noms tant leur proximité morphologique en latin étaient proches. On nomme adjectif des mots ajoutés (du latin adjuticere) aux noms ou aux pronoms selon les critères suivants :
Pas d’autonomie référentielle car il qualifie un nom
Il reçoit les marques sémantiques du nom dont il dépend en genre et en nombre
Sa fonction dépend de la façon dont il est mis en relation avec l’élément régisseur :
A l’intérieur du GN il est épithète
Séparé du GN par une virgule il est épithète détachée
Relié au terme régisseur par un verbe il est attribut du sujet ou de l’objet
Enfin il existe à part des adjectifs qualificatifs les adjectifs relationnels qui ont ceci de particulier qu’ils ne peuvent être quantifiés (*très blanc naturel) Ces adjectifs relationnels créent alors une sous-catégorie de spécifique du nom qu’il détermine, le GN devenant alors une locution figée. ( blanc naturel, gris perle et noir uni)
A. Les classes morphosyntaxiques de l’adjectif
1. Les adjectifs à forme simple ou complexe
Il s’agit des adjectifs simples qui s’accordent en genre et en nombre et qu’on ne peut décomposer : vieux, vert long rouge, noir…
2. Les adjectifs par conversion
Ce sont les termes qui proviennent d’une autre catégorie grammaticale et qui ont dérivé dans la catégorie des adjectifs par dérivation propre ou impropre. Il s’agit des adjectifs verbaux (collant)ou des participes passés substantivés (chargé, potelée, affublé, couronné, déguisé, serré, ventru, retroussé, plié, empêtré bouffie). Ils peuvent acquérir un degré (très serré) mais gardent une fonction verbale puisqu’ils gardent leur fonction de complément d’agent ( vêtu, affublé d’un habit, couronnée de raisins, déguisé en enfant)
Des noms peuvent aussi devenir adjectifs : azur argent, pourpre, sauvage, nacarat, rose, publics, ponceau. On distingue alors l’adjectif du nom puisqu’il devient variable en genre et en nombre (bottines roses).
B. Les variations en genre et en nombre des adjectifs
Il s’accorde donc en genre et en nombre tantôt avec la forme S tantôt avec le X (petits).
Les marques du genre
On forme généralement le féminin en ajoutant un e à la forme du masculin (vert/verte ; noir/noire) mais à l’oral les 2/3 des adjectifs ne marquent pas l’opposition des genres. On peut distinguer :
les adjectifs à forme unique à l’oral et à l’écrit, appelés adjectifs épicènes : sauvage, large, gauche…
les adjectifs variant en genre à l’écrit seulement : il s’agit des adjectifs terminés par une consonne r (noir devient noire)
les adjectifs variant en genre à l’oral et à l’écrit :
avec sonorisation de la consonne finale, sans variation vocalique (vert, haut, grand) ; parfois avec redoublement de la consonne (vénitien au féminin donnerait vénitienne).
avec dénasalisation de la voyelle du masculin (brun/brune),
avec modification de la consonne finale : vieux devient vieille au féminin.
avec variation complexe ( vieux, forme du singulier était auparavant la marque du pluriel, s’opposant à viel)
2. Les marques du nombre
Le pluriel se fait généralement en S (bleus, molles, roses..) parfois en X (pas d’occurrence dans le texte.
C. Les degrés de signification des adjectifs qualificatifs
-on peut adjoindre à l’adjectif un adverbe pour exprimer l’intensité : grotesquement large & très haut
- introduire un degré de comparaison en plus que, moins que et Introduire l’idée de superlatif (la plus) : pas d’occurrence dans le texte.
II. Syntaxe
A. Le groupe adjectival
L’adjectif peut recevoir un complément appelé complément de l’adjectif : molles à éperons d’or.
B. Les fonctions de l’adjectif
- l’épithète liée
Sa présence est facultative dans le GN, l’épithète n’est pas séparée du nom. Il décrit une propriété constante.
Sa place est variable, bien que souvent postposé, la préposition désignant souvent un sens différent dans une locution figée. Vieux beau, moyen-âge (pour âge moyen, entre deux.)
Quand un pronom a une épithète détachée, il est complété par une construction en de (quelqu’un d’important)
Les adjectifs classifiant (nombreux dans le texte sont les adjectifs qui désignent un sens (gauche) ou une couleur (blanche, brune, rouge…) Ils sont toujours postposés et ne peuvent être quantifiés (mis à part des adjectifs de couleur( très rouge). On trouve parmi ces adjectifs objectifs les adjectifs relationnels).
Les adjectifs subjectifs, affectifs ou évaluatifs proposent une norme ( longue, large, haute, célèbre, insolente..)
- L’épithète détachée
Elle est mobile et séparée du nom par une virgule : un Pritchard, affublé / une Suissesse aux yeux bleus, blanche comme du lait, potelée ../ Un petit berger Watteau, azur et argent ..)
Il peut y avoir des cas ambigus : son jupon de gaze sur ses bas de soie gris perle, pris( ce qui est pris peut être le jupon ou les bas de soie).
La propriété décrite par l’épithète détachée est transitoire, le temps du verbe, elle est l’équivalent d’une proposition circonstancielle : (d’une Bacchante, couronnée de raisins est un CC de manière = couronnée avec des raisins)
- La fonction attribut
-attribut du sujet : non facultatif, il apporte une information essentielle, et établit une relation avec le sujet par l’intermédiaire d’un verbe dit verbe d’état. On peut le pronominaliser par le neutre Le , Il fait partie du Groupe verbal puisqu’il ne peut exister sans le verbe : Sa mine pâle, un peu bouffie et à nez retroussé, semblait plus insolente = insolente, elle l’est.
- Attribut de l’objet : L’attribut du COD désigne une qualité, une manière d’être, une propriété qui est « attribuée » au COD par l’intermédiaire d’un verbe transitif exprimant le jugement, le choix, la transformation : son large pantalon de soie ponceau, collant sur la croupe et serré à la taille par une écharpe de cachemire, avait, tout le long de la couture, des petits camélias blancs naturels
L’adjectif en construction absolue détachée : associent deux termes dans une relation prédicative, sans expliciter par une marque formelle leur rapport entre elles, ni avec le reste de l’énoncé. Elle comprennent un GN et un adjectif ou un participe prédicatifs et le GN entretient généralement une relation du partie à tout avec un autre élément de la phrase (c’est souvent une partie corporelle ou une particularité psychologique ou comportementale d’un tout animé) : sa mine pâle = sa mine étant pâle.
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"Let the wild rumpus start"
- InvitéInvité
A mon tour, ensuite je regarderai ce que vous avez fait, les filles.
Je ne suis pas fière : je n'ai pas développé, parce que là, déjà, ça m'a pris une plombe. Je sais aussi qu'avec un relevé si long il faut citer toutes les occurrences dans chaque partie concernée.
Ce travail m'a fait prendre conscience de plusieurs difficultés, si vous avez des réponses à m'apporter...
- Est-il possible qu'à l'oral on nous donne un corpus avec tant d'occurrences à traiter ?
- j'ai imprimé le texte et souligné les adj de toutes les couleurs en fonction des "cases", mais c'est impossible le jour J. Comment alors faire vite et efficace ? C'est un mystère.
Je ne suis pas fière : je n'ai pas développé, parce que là, déjà, ça m'a pris une plombe. Je sais aussi qu'avec un relevé si long il faut citer toutes les occurrences dans chaque partie concernée.
- Spoiler:
- Etymologiquement, l’adjectif = mot « adjoint », càd qui vient s’ajouter à un autre terme de la phrase, généralement nominal ou pronominal, auquel il apporte une précision de sens : couleur, propriété, forme, dimension… Il ne peut donc pas s’employer seul et il ne possède pas par lui-même un genre. On le considère comme une expansion nominale.
Pbmq : Peut-on dire que les adjectifs qualifient les noms ?
1. Certains adjectifs qualifient effectivement le nom
Je trouve la liste trop longue dans ce texte pour les relever tous. Je les ai tous surlignés en jaune dans le texte copié-collé, mais la couleur ne passe pas.
1.1 Les adjectifs épithètes du nom
Les adjectifs classifiants (qui attribuent une propriété permettant de mettre le référent dans une classe établie indépendamment de l’énonciateur) : (ce sont les plus représentés dans le texte, bcp d’adjectifs de couleur)
EX : un habit noir, un large pantalon, un doge vénitien, l’oreille droite…
Antéposés ou postposés,
+ parfois doublés : veste de velours noir uni
Les adjectifs non classifiants (qui impliquent une réaction émotive ou un jugement de valeur de l’énonciateur) :
EX : un habit noir grotesquement large : l’adjectif devient classifiant par l’adjonction de l’adverbe qui émet un jugement de la part du narrateur.
1.2 Les adjectifs apposés au nom
Blanche, potelée, azur et argent, célèbre, bouffie
1.3 Les adjectifs attributs du sujet
Comme elle se trouvait riche (attribut du pronom « elle »)
Sa mine […] semblait plus insolente
II/ Certains adj ne qualifient pas le nom
Un bal public : « public » épithète du nom bal ou adjectif relationnel soudé au nom pour former une nouvelle appellation : non modifiable en degré * un bal très public, ne peut être que postposé au nom * un public bal, ne peut pas être épithète détaché * public, le bal, on ne peut pas intercaler un autre adjectif entre le nom et lui :* le bal intéressant public.
S’était mise en femme sauvage : même problème. Nouvelle appellation « femme sauvage » .
III/ Les « faux » adjectifs
Un vieux beau : deux adjectifs successifs mais par dérivation impropre, substantivation ; d’ailleurs sujet de « dansait »
Une grande blonde
Un clair de lune : adjectif « clair » + CDN « lune » -- substantivation
IV/ Cas particuliers
Un grand baron moyen âge : pas un adjectif mais fonctionne comme un adjectif classifiant ici ; mis pour « moyenâgeux »
CCL : la grande majorité des adjectifs du texte qualifie le nom, la plupart en fonction d’épithètes. Mais qques adj montre que ce critère n’est pas suffisant pour distinguer l’adj d’une autre catégorie grammaticale.
Ce travail m'a fait prendre conscience de plusieurs difficultés, si vous avez des réponses à m'apporter...
- Est-il possible qu'à l'oral on nous donne un corpus avec tant d'occurrences à traiter ?
- j'ai imprimé le texte et souligné les adj de toutes les couleurs en fonction des "cases", mais c'est impossible le jour J. Comment alors faire vite et efficace ? C'est un mystère.
- InvitéInvité
Je trouve aussi que les occurrences sont très nombreuses, cela dit j’avais délimité à une ligne près cet extrait pour une ET mas je ne sais pas si le jour J cette délimitation grammaire et ET serait la même. J'ai jeté un oeil à ce que vous avez fait et ça me déprime, ça commence! :lol:
- JulieLHNiveau 8
Le texte est peut-être trop long, ou alors il y a trop d'occurrences. Le jour J, tu amènes ton papier calque. Ce premier sujet permet de réfléchir sur la question de l'adjectif. À l'oral, le texte que tu expliques ne correspond pas tout à fait à celui de grammaire. Le second est plus court.
_________________
Quand ton anniv' tombe le 29 janvier. ^^
- InvitéInvité
@ Amarine :
@ Felix-icis
- Spoiler:
- - tu as mis "marcheuse" dans la classe des adjectifs. J'ai hésité entre adj et nom, j'ai penché pour la 2ème solution ; j'ai oublié de le mettre dans mes cas particuliers. Tu tranches formellement pour l'adjectif ?
- je voulais faire un plan en rapport avec les fonctions, mais je ne trouvais pas de problématique. Quelle serait la tienne ?
@ Felix-icis
- Spoiler:
- Quel boulot ! Tu auras le temps de faire tout ça, à l'oral ? Si oui, tu me fais peur !
A-t-on le droit de proposer un plan qui distingue morphologie en I, et syntaxe en II ? Et du coup, quelle est ta problématique ?
- InvitéInvité
C'est vrai JulieH ? Chic alors, voilà une bonne nouvelle !
Corailc, tu plaisantes ?? Comment te dire... :aaq: (pour le travail de Felix, ok, mais le mien lol).
Corailc, tu plaisantes ?? Comment te dire... :aaq: (pour le travail de Felix, ok, mais le mien lol).
- OudemiaBon génie
Peut-on faire des remarques, toujours en spoiler bien sûr ?
- InvitéInvité
Oh que oui, Oudemia ! En particulier si tu vois des énormités !!
- InvitéInvité
Pour ma part je crois que je ferai quoi qu'il arrive I/ Morpho II/Syntaxe
- JulieLHNiveau 8
@LouisedeL c'est ce qu'il me semble pour le texte plus court. Pour le calque c'est sûr. J'ai assisté à un oral cette année. Mais je n'étais pas très bien réveillée. La personne avait 15 articles à traiter grand maximum. Donc là c'est clair qu'on dépasse largement un relevé type oral qui doit durer 10 minutes, me semble-t-il. Encore une fois ici il s'agit d'un sujet d'entraînement.
_________________
Quand ton anniv' tombe le 29 janvier. ^^
- InvitéInvité
ok, merci JulieLH ! J'essaierai le calque la prochaine fois, mais j'ai deux mains gauches, c'est pas gagné cette affaire...
- InvitéInvité
L'épreuve de ET ou CC dure 2 h 30 de préparation c'est ça? Donc 30 minutes pour la grammaire ? :abg:
- Felix-icisNiveau 4
@ louisedel: J'ai suivi le plan des grammaires de concours qui est aussi celui des cours S et à l'univ d'Ar**s on nous faisait passer comme cela. Le problème c'est que c'est long en préparation mais lu ça fait 10 minutes.
En fait j'ai surligné mais on ne voit pas grand chose en copie / collé comme ça ça lisse tout.
J'ai ôté des occurrences redondantes qui n'apportent pas grand chose.
Pas de problématique. La prof disait que c'est absurde car on ne peut pas problématiser la grammaire.
En fait j'ai surligné mais on ne voit pas grand chose en copie / collé comme ça ça lisse tout.
J'ai ôté des occurrences redondantes qui n'apportent pas grand chose.
Pas de problématique. La prof disait que c'est absurde car on ne peut pas problématiser la grammaire.
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"Let the wild rumpus start"
- MychkineJe viens de m'inscrire !
Bonjour,
Pour avoir été admissible cette année, je confirme que la question de grammaire porte (souvent) sur une partie seulement de l'extrait proposé en ET.
Nous disposons de 3 heures de préparation pour faire l'explication et la grammaire, à répartir à notre guise, mais l'idéal est quand même 2h30/30min.
Pour avoir été admissible cette année, je confirme que la question de grammaire porte (souvent) sur une partie seulement de l'extrait proposé en ET.
Nous disposons de 3 heures de préparation pour faire l'explication et la grammaire, à répartir à notre guise, mais l'idéal est quand même 2h30/30min.
- InvitéInvité
Merci à tous pour vos éclairages !
Corailc, distinguer ainsi la morpho/syntaxe ne me semble pas opératoire : cela oblige à traiter la même occurrence à deux reprises. Je pense qu'il faudrait l'analyse morphologique à l'intérieur d'un plan élaboré sur des critères davantage syntaxiques. Mais je ne suis pas sûre de moi.
En tout cas, y a du boulot !
Corailc, distinguer ainsi la morpho/syntaxe ne me semble pas opératoire : cela oblige à traiter la même occurrence à deux reprises. Je pense qu'il faudrait l'analyse morphologique à l'intérieur d'un plan élaboré sur des critères davantage syntaxiques. Mais je ne suis pas sûre de moi.
En tout cas, y a du boulot !
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