- trompettemarineMonarque
Je le répète, je suis de très mauvaise foi ! je verrai donc le mal partout, même là où il n'est pas !
Mais quand même, j'ai du mal à suivre :
page 3 :
Mais quand même, j'ai du mal à suivre :
page 3 :
page 4 :NVB a écrit:La lecture sauve. Elle offre d’autres vies. Elle a tout sauvé en moi. Instants joyeux ou difficiles : toujours, je lisais. Et puis nous n’avions pas la télévision.
NVB a écrit:Je n’ai pas vu de livres dans le village de mon enfance : je surveillais les chèvres, je jouais avec les poules un peu malingres, j’accompagnais ma mère partout.
- MiewHabitué du forum
Aemilia a écrit:Dieu sait que je déteste cette bonne femme, et que la sortie de son autobio me fait hésiter entre le rire et les larmes, mais il ne faut pas voir le mal partout non plus... elle raconte des souvenirs d'enfance, je ne suis pas choquée par cette évocation de lectures variées ou cette fascination pour des couvertures colorées.
Ce n'est pas le fond qui pose véritablement problème, mais la forme.
_________________
“Le premier symptôme de l'amour vrai chez un jeune homme, c'est la timidité, chez une jeune fille, c'est la hardiesse.”
Victor Hugo, Les Misérables.
- AemiliaExpert
trompettemarine a écrit:Je le répète, je suis de très mauvaise foi !
Mais quand même, j'ai du mal à suivre :
page 3 :page 4 :NVB a écrit:La lecture sauve. Elle offre d’autres vies. Elle a tout sauvé en moi. Instants joyeux ou difficiles : toujours, je lisais. Et puis nous n’avions pas la télévision.NVB a écrit:Je n’ai pas vu de livres dans le village de mon enfance : je surveillais les chèvres, je jouais avec les poules un peu malingres, j’accompagnais ma mère partout.
(elle parle de la différence entre le Maroc et son arrivée en France, quand elle avait 4 ou 5 ans)
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Professeur de lettres classiques déclassée
Mon blog "culture et humeurs, humour et coups de coeur" : https://fortyfiveweeks.wordpress.com/
- AemiliaExpert
Miew a écrit:Aemilia a écrit:Dieu sait que je déteste cette bonne femme, et que la sortie de son autobio me fait hésiter entre le rire et les larmes, mais il ne faut pas voir le mal partout non plus... elle raconte des souvenirs d'enfance, je ne suis pas choquée par cette évocation de lectures variées ou cette fascination pour des couvertures colorées.
Ce n'est pas le fond qui pose véritablement problème, mais la forme.
Je réagissais surtout à ces messages de trompettemarine (mais je suis d'accord sur la forme hein, et d'ailleurs même le fond me déplaît, d'ailleurs).
trompettemarine a écrit:Bon, j'avoue, j'ai lu jusqu'à la quatrième page.
J'ai beau être de mauvaise foi, mais une analyse stylistique et sémantique de cette phrase n'explique-t-elle pas la philosophie de la réforme des collèges ?NVB a écrit:Tout ce qui me passe entre les mains. Tout. Le littéraire, le populaire, l’indispensable, le négligeable, la fiction, la théorie, le classique, le jetable. Peu importe.
trompettemarine a écrit:NVB a écrit:Quand ça va mal, lire c’est oublier, rêver, apprendre, c’est changer, aller au miroir pour comprendre, se transformer. Lire pour sortir et s’en sortir. Et attention : ce n’est pas la ministre de l’école qui fait la maligne devant trente bureaux bien rangés : c’est la femme qui se souvient avoir été une enfant. Aujourd’hui encore, aux jours joyeux, agaçants, difficiles, et il y en a : je lis.
Tout ce qui me passe entre les mains. Tout. Le littéraire, le populaire, l’indispensable, le négligeable, la fiction, la théorie, le classique, le jetable. Peu importe. J’ai adoré Exbrayat, avec la couverture du Masque, jaune et noir, légendaire. Orange, aussi, parfois, chez les bouquinistes ou en bibliothèque.
Vous noterez que la couverture du livre est plus importante que le contenu.
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- trompettemarineMonarque
Aemilia a écrit:trompettemarine a écrit:Je le répète, je suis de très mauvaise foi !
Mais quand même, j'ai du mal à suivre :
page 3 :page 4 :NVB a écrit:La lecture sauve. Elle offre d’autres vies. Elle a tout sauvé en moi. Instants joyeux ou difficiles : toujours, je lisais. Et puis nous n’avions pas la télévision.NVB a écrit:Je n’ai pas vu de livres dans le village de mon enfance : je surveillais les chèvres, je jouais avec les poules un peu malingres, j’accompagnais ma mère partout.
(elle parle de la différence entre le Maroc et son arrivée en France, quand elle avait 4 ou 5 ans)
Il y a trop d'ellipses, hélas...
- trompettemarineMonarque
cela, c'est l'effet Hollande.NVB a écrit:Et bien sûr la pluie. Un pays qui échappe au soleil, si c’est pas malheureux…
Bon, j'arrête, c'est trop facile...
Je retourne à mes copies !
- archebocEsprit éclairé
trompettemarine a écrit:J'ai beau être de mauvaise foi, mais une analyse stylistique et sémantique de cette phrase n'explique-t-elle pas la philosophie de la réforme des collèges ?NVB a écrit:Tout ce qui me passe entre les mains. Tout. Le littéraire, le populaire, l’indispensable, le négligeable, la fiction, la théorie, le classique, le jetable. Peu importe.
Regarde le début de la liste : les termes s'opposent deux à deux. Comme l'indispensable s'oppose au négligeable, le classique s'oppose ici au jetable. Je ne vois donc pas du tout le rapport avec la réforme du collège.
Bien plus choquante à mes yeux est la paire initiale opposant littéraire et populaire, j'attends cela moins chez une ministre de l'EN de gauche que sous une plume réactionnaire.
- sifiÉrudit
Merci à tous ceux qui ont lu ça pour moi.
Entre les phrases non verbales et un style (sic) qui ignore les phrases complexes, je n'irai pas plus loin.
Entre les phrases non verbales et un style (sic) qui ignore les phrases complexes, je n'irai pas plus loin.
- trompettemarineMonarque
Oui, il y a les oppositions, bien sûr, c'était l'effet littéraire recherché. Mais l'énumération impose une absence de hiérarchie entre les différents éléments, voire peut laisser entendre à l'esprit perverti, qui est le mien aujourd'hui, une relation d'égalité.
En outre, commencer par le mot "littéraire" et finir par le "jetable" suppose selon moi un certain cheminement (peut-être inconscient) qui est signifiant. J'ai vécu une réforme qui a considéré comme jetable la littérature, le latin, le grec, etc.
Je relève aussi le mélange de notions qui montrent une certaine confusion : littéraire-fiction-classique.
Je joue et j'assume ma mauvaise foi, c'est thérapeutique !
En outre, commencer par le mot "littéraire" et finir par le "jetable" suppose selon moi un certain cheminement (peut-être inconscient) qui est signifiant. J'ai vécu une réforme qui a considéré comme jetable la littérature, le latin, le grec, etc.
Je relève aussi le mélange de notions qui montrent une certaine confusion : littéraire-fiction-classique.
Je joue et j'assume ma mauvaise foi, c'est thérapeutique !
- sifiÉrudit
trompettemarine a écrit:Oui, il y a les oppositions, bien sûr, c'était l'effet littéraire recherché. Mais l'énumération impose une absence de hiérarchie entre les différents éléments, voire peut laisser entendre à l'esprit perverti, qui est le mien aujourd'hui, une relation d'égalité.
En outre, commencer par le mot "littéraire" et finir par le "jetable" suppose selon moi un certain cheminement (peut-être inconscient) qui est signifiant. J'ai vécu une réforme qui a considéré comme jetable la littérature, le latin, le grec, etc.
Je relève aussi le mélange de notions qui montrent une certaine confusion : littéraire-fiction-classique.
Je joue et j'assume ma mauvaise foi, c'est thérapeutique !
Cheminement sous-entend qu'elle a mené une réflexion. Là, nous arrivons à la question des conditions dans lesquelles ce livre a été écrit, et par qui: y a-t-il une réflexion de sa part? S'agit-il d'une retranscription par un journaliste d'une série d'entretiens?
Moi ce qui me me surprend, c'est comment quelqu'un qui aurait autant lu peut faire autant de fautes d'orthographe (dans les tweets, livres d'or etc...), et écrire dans un style aussi minimaliste (mais nous revenons donc à la question ci-dessus).
- CeladonDemi-dieu
Victime, maintenant.
https://fr.news.yahoo.com/najat-vallaud-belkacem-attendra-ne-104301212.html
https://fr.news.yahoo.com/najat-vallaud-belkacem-attendra-ne-104301212.html
- MiewHabitué du forum
Celadon a écrit:Victime, maintenant.
https://fr.news.yahoo.com/najat-vallaud-belkacem-attendra-ne-104301212.html
Et c'est donc pour ça qu'elle espère rempiler si Hamon est élu ?
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“Le premier symptôme de l'amour vrai chez un jeune homme, c'est la timidité, chez une jeune fille, c'est la hardiesse.”
Victor Hugo, Les Misérables.
- sifiÉrudit
Celadon a écrit:Victime, maintenant.
https://fr.news.yahoo.com/najat-vallaud-belkacem-attendra-ne-104301212.html
Chez moi, on dit "Yeuh... pauvre Mikala" ... mais ce n'est évidemment pas très littéraire.
- MoonchildSage
Elle nous révèle sans doute ici le véritable fondement de son savoir-faire politique qu'elle serait amenée à appliquer trente ans plus tard pour réformer l'Education Nationale. Reste à déterminer si elle nous considère davantage comme des chèvres ou comme des poules un peu malingres.trompettemarine a écrit:page 4 :NVB a écrit:Je n’ai pas vu de livres dans le village de mon enfance : je surveillais les chèvres, je jouais avec les poules un peu malingres, j’accompagnais ma mère partout.
- OudemiaBon génie
:mdr3:Luigi_B a écrit:hypermnestre a écrit:La traditionnelle, pas celle réformée !Haynee a écrit:Je parcourrai quand même quelques pages en librairie, juste pour savoir quelle orthographe l'imprimeur a utilisée.
Je confirme : "brûle", "fraîche", "paraît" etc.
Pouvoir imposer l'orthographe "rectifiée" à 855.000 enseignants mais pas à son éditeur...
Je n'avais pas l'intention de le lire, au moins aurai-je de quoi en parler.
- HayneeNiveau 7
:mdr3: Ce n'est toutefois guère étonnant : c'est bien de confirmer que l'orthographe réformée, c'est pour les "sans dents". Merci de m'avoir évité de me compromettre auprès de ma libraire. Ceci dit, cela fera toujours un argument en réunion disciplinaire si quelqu'un recommence à me bassiner avec la nécessité deLuigi_B a écrit:hypermnestre a écrit:La traditionnelle, pas celle réformée !Haynee a écrit:Je parcourrai quand même quelques pages en librairie, juste pour savoir quelle orthographe l'imprimeur a utilisée.
Je confirme : "brûle", "fraîche", "paraît" etc.
Pouvoir imposer l'orthographe "rectifiée" à 855.000 enseignants mais pas à son éditeur...
"Une tragédie grecque qui finit bien", c'est quoi ? Les Deux Orphelines ?trompettemarine a écrit:Mais trève de plaisanterie, sur le fond, si je comprends bien, elle se compare à... Cosette ?
Je m'arrête à la deuxième page : "Une tragédie grecque qui finit bien."
De toute façon, ma lecture sera de mauvaise foi, j'ai trop de colère.
Elle passe en ce moment dans C à vous : obligée de faire un repli stratégique sur une autre chaîne.
- BrontosaureNiveau 5
Juste une remarque, en passant, à propos de cet extrait :
La phrase en gras me paraît incongrue. Comme une tentative maladroite de glisser une remarque féministe là où elle n'a pas lieu d'être pour pouvoir dire, en bonne communicante : " voyez comme je suis toujours prête à défendre la cause des femmes ". Or, le problème n'est pas ici l'opinion supposée d'on ne sait qui sur les femmes mais la manière dont la société cantonnait (et cantonne encore dans certains milieux) les femmes, en particulier les plus modestes, aux tâches ménagères.
Il est d'autant plus dommage que la médiocre idéologie sociétaliste pollue son autobiographie que le parcours de cette petite bergère n'est pas sans intérêt...
NVB a écrit:Très vite après l’accouchement, ma grand-mère a demandé à ma mère de reprendre sa vie de tous les jours : linge, ménage, cuisine, vaisselle. Une montagne de corvées. Ma mère était très jeune, et assez seule : elle a obéi, bien sûr. On dit que ma grand-mère était dure. C’est possible. Je sais aussi ce qu’on dit des femmes : elles sont toujours trop comme ci, ou pas assez comme ça. Alors, je passe sur ces considérations : j’étais et je suis toujours très proche de ma mère, qui n’a cessé de m’apprendre à choisir.
La phrase en gras me paraît incongrue. Comme une tentative maladroite de glisser une remarque féministe là où elle n'a pas lieu d'être pour pouvoir dire, en bonne communicante : " voyez comme je suis toujours prête à défendre la cause des femmes ". Or, le problème n'est pas ici l'opinion supposée d'on ne sait qui sur les femmes mais la manière dont la société cantonnait (et cantonne encore dans certains milieux) les femmes, en particulier les plus modestes, aux tâches ménagères.
Il est d'autant plus dommage que la médiocre idéologie sociétaliste pollue son autobiographie que le parcours de cette petite bergère n'est pas sans intérêt...
- CeladonDemi-dieu
Le parcours n'est pas sans intérêt : il nous apprend à nous méfier des bergères.
L'arrivisme forcené est une plaie.
L'arrivisme forcené est une plaie.
- BrontosaureNiveau 5
Celadon a écrit:Le parcours n'est pas sans intérêt : il nous apprend à nous méfier des bergères.
L'arrivisme forcené est une plaie.
Intérêt ne veut pas dire approbation. Il est hors de question que j'achète cet ouvrage. Mais, comme d'autres, j'en feuilletterai quelques pages à l'occasion dans ma librairie préférée...
Je connais le type psychologique du militant désintéressé qui met progressivement de côté son idéal pour s'installer dans une carrière de gestionnaire ; je connais aussi celui du petit-bourgeois qui embrasse la carrière politique comme il aurait pu devenir médecin ou architecte et qui choisit une écurie de droite ou de gauche pour de vagues affinités (leur " sensibilité " disent-ils) mais le type de l'arriviste issu des milieux populaires qui monte dans l'appareil en mettant en avant ses origines et en répétant les phrases stéréotypées qui lui tiennent lieu d'idées politiques m'est relativement inconnu et me semble relativement récent en France. C'est surtout en cela que son parcours m'intéresse...
- CeladonDemi-dieu
Elle met en avant ses origines parce qu'elle sait que cet état de fait sera bien perçu et dans certains milieux, admiré.
Personnellement, je ne suis absolument pas admirative. Je regarde ce parcours comme celui de quelqu'un d'opportuniste, qui a su saisir les perches qui lui étaient tendues par l'air du temps. Pensez donc ! Une femme issue de la diversité qui devient française, accède à Sciences Po, épouse un Français et dans sa trentaine devient ministre pour exécuter le domaine qui lui est confié. Alors insister sur l'enfance de bergère, comment dire ?
J'espère qu'en plus elle ne se fera pas un fric de folie avec cet opus vraisemblablement écrit par un nègre très au fait de l'orthographe avant qu'elle ne la massacre elle aussi.
Personnellement, je ne suis absolument pas admirative. Je regarde ce parcours comme celui de quelqu'un d'opportuniste, qui a su saisir les perches qui lui étaient tendues par l'air du temps. Pensez donc ! Une femme issue de la diversité qui devient française, accède à Sciences Po, épouse un Français et dans sa trentaine devient ministre pour exécuter le domaine qui lui est confié. Alors insister sur l'enfance de bergère, comment dire ?
J'espère qu'en plus elle ne se fera pas un fric de folie avec cet opus vraisemblablement écrit par un nègre très au fait de l'orthographe avant qu'elle ne la massacre elle aussi.
- sifiÉrudit
Je suis toujours gênée de cette histoire d'invoquer les origines, tout comme le sexe. Pour ma part, ce qui compte, c'est le parcours, les compétences, les capacités. Le fait d'être une femme, d'origine étrangère, ne change rien.
Il existe des hommes nés en France qui ont un parcours exceptionnel. Des femmes aussi. C'est la compétence qui compte, et non les origines sociales ou ethniques.
Il existe des hommes nés en France qui ont un parcours exceptionnel. Des femmes aussi. C'est la compétence qui compte, et non les origines sociales ou ethniques.
- e-WandererGrand sage
Céladon en sait quelque chose, forcément.Celadon a écrit:Le parcours n'est pas sans intérêt : il nous apprend à nous méfier des bergères.
L'arrivisme forcené est une plaie.
- CeladonDemi-dieu
Bonsoie e- Pourquoi en saurais-je quelque chose ?
- trompettemarineMonarque
Celadon a écrit:Elle met en avant ses origines parce qu'elle sait que cet état de fait sera bien perçu et dans certains milieux, admiré.
Personnellement, je ne suis absolument pas admirative. Je regarde ce parcours comme celui de quelqu'un d'opportuniste, qui a su saisir les perches qui lui étaient tendues par l'air du temps. Pensez donc ! Une femme issue de la diversité qui devient française, accède à Sciences Po, épouse un Français et dans sa trentaine devient ministre pour exécuter le domaine qui lui est confié. Alors insister sur l'enfance de bergère, comment dire ?
J'espère qu'en plus elle ne se fera pas un fric de folie avec cet opus vraisemblablement écrit par un nègre très au fait de l'orthographe avant qu'elle ne la massacre elle aussi.
Oui, mais qui refuse d'utiliser les verbes (Y aurait-il là une phobie de la conjugaison ?)
- e-WandererGrand sage
Astrée, Céladon…Celadon a écrit:Bonsoie e- Pourquoi en saurais-je quelque chose ?
- gauvain31Empereur
Celadon a écrit:Elle met en avant ses origines parce qu'elle sait que cet état de fait sera bien perçu et dans certains milieux, admiré.
Personnellement, je ne suis absolument pas admirative. Je regarde ce parcours comme celui de quelqu'un d'opportuniste, qui a su saisir les perches qui lui étaient tendues par l'air du temps. Pensez donc ! Une femme issue de la diversité qui devient française, accède à Sciences Po, épouse un Français et dans sa trentaine devient ministre pour exécuter le domaine qui lui est confié. Alors insister sur l'enfance de bergère, comment dire ?
J'espère qu'en plus elle ne se fera pas un fric de folie avec cet opus vraisemblablement écrit par un nègre très au fait de l'orthographe avant qu'elle ne la massacre elle aussi.
Le message de NVB est "je souhaite le meilleur pour nos enfants de France et notamment les enfants de milieux défavorisés
C'est une façon aussi de se protéger et de construire une image de "femme politique proche du peuple"; une sorte d'assurance-vie pour son avenir politique dans un futur parti plus à gauche que le PS de Hamon (et en espérant que la majorité des Français oublieront son passage au MEN....)
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