- archebocEsprit éclairé
http://www.lemonde.fr/campus/article/2017/02/17/apres-toulouse-3-et-orleans-l-universite-de-limoges-a-l-heure-des-restrictions_5081558_4401467.html
A l’université de Limoges, qui compte 15 500 étudiants et a connu une augmentation d’un millier d’étudiants lors des trois dernières années, 43 postes ne seront pas remplacés en 2017 et une coupe de 17 % dans l’enveloppe de l’offre de formation a été décidée le 17 février, lors du vote du budget.
Déjà en déficit en 2015, de 400 000 euros – qu’elle a dû piocher dans ses réserves – l’université prévoit un résultat encore plus critique pour l’année 2016, avec 1,4 million d’euros à combler, pour un budget global d’environ 157 millions d’euros. D’où l’urgence de redresser franchement la barre, comme l’ont déjà fait ces derniers mois les universités de Toulouse 3 (Paul Sabatier), d’Orléans ou encore de Dijon.
- ChamilNiveau 9
archeboc a écrit:
http://www.lemonde.fr/campus/article/2017/02/17/apres-toulouse-3-et-orleans-l-universite-de-limoges-a-l-heure-des-restrictions_5081558_4401467.html
A l’université de Limoges, qui compte 15 500 étudiants et a connu une augmentation d’un millier d’étudiants lors des trois dernières années, 43 postes ne seront pas remplacés en 2017 et une coupe de 17 % dans l’enveloppe de l’offre de formation a été décidée le 17 février, lors du vote du budget.
Déjà en déficit en 2015, de 400 000 euros – qu’elle a dû piocher dans ses réserves – l’université prévoit un résultat encore plus critique pour l’année 2016, avec 1,4 million d’euros à combler, pour un budget global d’environ 157 millions d’euros. D’où l’urgence de redresser franchement la barre, comme l’ont déjà fait ces derniers mois les universités de Toulouse 3 (Paul Sabatier), d’Orléans ou encore de Dijon.
A très moyen terme, cette situation qui touche un nombre croissant d'universités depuis la LRU n'a que trois issues possibles, qui n'ont rien d'exclusives:
- L'Etat laisse la possibilité aux universités d'augmenter les droits d'inscription, avec un cycle prévisible (désengagement financier des pouvoirs publics, accoutumance à la hausse des droits, dette étudiante).
- L'Etat permet aux universités de faire ce qui fait dans le monde entier (mais qui a sûrement tort puisque la France est toujours la lumière de l'univers): la sélection à l'entrée, afin d'éviter qu'une majorité d'étudiants en L1 d'une filière ne finissent pas la licence dans les temps.
- L'Etat joue vraiment le jeu de l'autonomie et dote financièrement les universités de manière massive, afin de créer des marges de manoeuvre, quitte à reprendre la gestion comme il le fait déjà aujourd'hui en cas de gestion erratique.
A très moyen terme, une des solutions devient inévitable.
- XIIINeoprof expérimenté
Voilà ce qui attend les collèges et lycées d'ici peu...
- Questionnaire mémoire M2 > Devenir élève : le passage du monde de la famille au monde de l'école (ma
- Article d'un blog du Monde: "Ce jeune prof de Drancy qui voulait changer le monde et sa classe".
- Europe 1 : "Les carnets du monde" sur les rythmes scolaires dans le monde.
- Infographie (Le Monde) : le tour du monde de la rentrée des classes
- Canard Enchaîné : "La réforme Peillon, tout le monde était pour, tout le monde est contre".
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