- ChamilNiveau 9
Cessions, fusions, acquisitions, augmentation du taux de profit... L'enseignement supérieur privé français, le secteur qui croît le plus vite dans le supérieur, aiguise les appétits des fonds financiers.
http://www.letudiant.fr/educpros/entretiens/serge-nicolas-en-periode-electorale-le-marche-est-toujours-un-peu-attentiste.html
Les dernières opérations sur quatre groupes représentent pas loin de 800 millions d'euros, faisant exploser un secteur jusque là marqué par le capitalisme familial et des tailles PME. Face à de tels moyens- et au fait qu'elles perdent au profit de ce secteur des étudiants qui ne sont pas nécessairement les plus mauvais- comment les universités vont-elles pouvoir continuer à faire la quadrature du cercle, avec budgets étiques, absence de sélection, course aux contrats et qualité du service public d'enseignement et de recherche?
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Les dernières opérations sur quatre groupes représentent pas loin de 800 millions d'euros, faisant exploser un secteur jusque là marqué par le capitalisme familial et des tailles PME. Face à de tels moyens- et au fait qu'elles perdent au profit de ce secteur des étudiants qui ne sont pas nécessairement les plus mauvais- comment les universités vont-elles pouvoir continuer à faire la quadrature du cercle, avec budgets étiques, absence de sélection, course aux contrats et qualité du service public d'enseignement et de recherche?
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