- CeladonDemi-dieu
Dans un article paru dans Libération le 30 octobre, un jeune Roubaisien, Amine Elbahi, raconte comment sa grande sœur a succombé finalement aux charmes mortifères du djihad – accusant pêle-mêle la République, l'école, le communautarisme et, tout de même, la propagande salafiste. Je fais la part de la douleur, de l'incompréhension, et du sentiment de gâchis exprimés dans cet article. Plus de pathos que de raison, peut-être. Mais il pose quelques bonnes questions
La suite ici :
http://www.lepoint.fr/invites-du-point/jean-paul-brighelli/brighelli-comment-l-ecole-fabrique-le-desespoir-03-11-2016-2080356_1886.php
- CeladonDemi-dieu
http://www.lepoint.fr/invites-du-point/jean-paul-brighelli/brighelli-prof-le-plus-beau-metier-du-monde-09-11-2016-2081824_1886.php
Une analyse à travers les films abordant le sujet ou à lui consacrés.
Extrait :
Une analyse à travers les films abordant le sujet ou à lui consacrés.
Extrait :
Le temps scolaire est un temps long, le temps cinématographique est plus court, nécessairement – mais les grands films ont une ombre portée qui s'étend sur des décennies. J'attends tout de même avec intérêt un film contemporain qui rendrait compte de la façon dont l'institution a brisé le merveilleux instrument dont nous disposions, qui s'appelait l'école de la République, et qui malgré toutes ses imperfections a formé Pagnol, Truffaut, Tavernier, Ozon et quelques autres. Et j'attends avec impatience qu'arrive la relève, que nous promettent les statistiques du Cnesco, au moment où tous les enseignants issus de la génération du baby-boom partent en vrac à la retraite – et qui pour les remplacer ?
- CeladonDemi-dieu
La suite ici :Mme Vallaud-Belkacem, toute honte bue, et dans un grand mouvement d'autosatisfaction, comme l'a souligné Sophie Coignard, a adressé ses meilleurs vœux au personnel de son immense ministère. Des souhaits qui feront sans doute chaud au cœur des 850 000 enseignants largués en rase campagne par une réforme qui peine à s'imposer, mais qui fait de son mieux pour faire table rase afin de créer de l'irrémédiable avant que le PS ne disparaisse.
Je ne saurais faire moins. Mais je me dispenserai de souhaiter à mon ministre la déroute électorale que mérite son parti : elle s'en tirera sans peine, s'étant taillé, à elle et à son époux, deux circonscriptions que seul un séisme électoral les empêcherait de gagner. Et son destin m'indiffère profondément. Dans six mois, elle sera à la chambre et dans les poubelles de l'histoire.
http://www.lepoint.fr/invites-du-point/jean-paul-brighelli/brighelli-mes-voeux-pour-l-ecole-avant-qu-il-ne-soit-trop-tard-05-01-2017-2094763_1886.php
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