- gauvain31Empereur
Le Monde a écrit:Des universités libres d’expérimenter et de sélectionner en master : Emmanuel Macron a partagé son diagnostic et sa vision de l’avenir de l’enseignement supérieur, au lendemain de sa démission du gouvernement, devant les présidents d’université, réunis à Paris le 31 août.
L’occasion de défendre plus de liberté pour l’université, afin de répondre aux mutations en cours. L’ancien ministre en identifie quatre principales : l’explosion du nombre d’étudiants, la compétition internationale, la révolution numérique et la transformation du marché du travail.
La suite ici :
http://www.lemonde.fr/campus/article/2016/09/01/emmanuel-macron-prone-plus-de-liberte-pour-l-universite_4991234_4401467.html
- Reine MargotDemi-dieu
Il n'est pas élu, plus ministre, à quel titre interroge-t-on ce monsieur?
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Thalia de GMédiateur
Un extrait de l'article, "quoté", stp ?
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- ErgoDevin
Voui. Ben ça tombe bien, on ne lui demandait pas son avis.
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- gauvain31Empereur
Reine Margot a écrit:Il n'est pas élu, plus ministre, à quel titre interroge-t-on ce monsieur?
Mais voyons! On ne s'adresse pas comme ça au futur président de la France ! C'est tellement évident pour certains journalistes. Ils ne crachent pas sur l'avenir
- e-WandererGrand sage
Ce n'est pas en master qu'on a besoin de sélectionner, c'est à l'entrée ! Ce ne serait d'ailleurs pas à l'avantage des enseignants-chercheurs, puisque la réduction d'effectifs amènerait logiquement une diminution du nombre de postes. Mais c'est ignoble de mentir ainsi à toute une frange de la jeunesse en lui laissant croire qu'elle pourra mener des études, qui plus est dans le cadre d'un cursus long et académique : 25% de bacs techniques et technologiques en L1, 1 à 2% de réussite…
- User21929Expert
Macron ? C'est le mec qui en ce moment s'encanaille à se balader dans la vraie vie pour rencontrer de vrais gens ? Un peu comme nous on irait dans un parc d'attractions pour se divertir...
Quel mépris !
Il est aussi pourri que Sarko, il faut le casser tout de suite sinon il fera des dégâts !!!
Quel mépris !
Il est aussi pourri que Sarko, il faut le casser tout de suite sinon il fera des dégâts !!!
- barègesÉrudit
e-Wanderer a écrit:Ce n'est pas en master qu'on a besoin de sélectionner, c'est à l'entrée ! Ce ne serait d'ailleurs pas à l'avantage des enseignants-chercheurs, puisque la réduction d'effectifs amènerait logiquement une diminution du nombre de postes. Mais c'est ignoble de mentir ainsi à toute une frange de la jeunesse en lui laissant croire qu'elle pourra mener des études, qui plus est dans le cadre d'un cursus long et académique : 25% de bacs techniques et technologiques en L1, 1 à 2% de réussite…
Au tout début, j'ai eu la faiblesse de croire que la formule magique bac - 3 / bac + 3 recouvrait de louables intentions : faciliter les passerelles entre filières (technologique-général, pro-technologique) pour les étudiants qui ont le niveau et la motivation, peut-être mettre en place des semestres ou années ou modules de mise à niveau dans certaines matières pour les étudiants en réorientation, etc.
Plus on avance, plus on entend de discours là-dessus, plus je me dis que c'est beaucoup plus simple : tout élève de seconde est voué à avoir un diplôme de Licence.
Certains de nos dirigeants et administrateurs traduisent par "tout le monde passe et valide ses semestres, quels que soient les bidouillages nécessaires pour y parvenir, et à l'aide de modifications structurelles s'il le faut".
Dernier discret appel du pied chez nous : le système bancal que l'on appelle contrôle continu n'est pas du vrai beau contrôle continu, mais la simple exigence d'avoir deux notes par semestre et par matière, ce qui est très drôle quand ladite matière est un module de quatre ou cinq séances. Il faudrait passer au vrai contrôle continu, dont on attend une définition, mais qui ressemblerait à une évaluation perpétuelle - à la fin de chaque séance, en cours de chaque séance, et soyons fous, à l'aide de boîtiers de vote puisque sinon on passe l'intégralité du cours à évaluer.
Normalement avec cela tout le monde passe.
- ErgoDevin
barèges a écrit:
Au tout début, j'ai eu la faiblesse de croire que la formule magique bac - 3 / bac + 3 recouvrait de louables intentions : faciliter les passerelles entre filières (technologique-général, pro-technologique) pour les étudiants qui ont le niveau et la motivation, peut-être mettre en place des semestres ou années ou modules de mise à niveau dans certaines matières pour les étudiants en réorientation, etc.
Plus on avance, plus on entend de discours là-dessus, plus je me dis que c'est beaucoup plus simple : tout élève de seconde est voué à avoir un diplôme de Licence.
Certains de nos dirigeants et administrateurs traduisent par "tout le monde passe et valide ses semestres, quels que soient les bidouillages nécessaires pour y parvenir, et à l'aide de modifications structurelles s'il le faut".
C'est un peu l'idée de la spécialisation progressive où on a voulu nous faire faire des L1 interdisciplinaires pour qu'un L1 Lettres Modernes passe en L2 LCE et réciproquement "pour éviter l'échec"...
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- DaphnéDemi-dieu
Il y a des gens qui écoutent encore les politiques, de tout bord ?
- ZagaraGuide spirituel
Macron c'est le mec qui a fait l'ENA, inspecteur des finances, Rothschild, ami du Medef, et qui se dit "hors système" c'est ça ?
J'ai un peu de mal à me souvenir de son nom : n'ayant jamais été élu, ne représentant aucun citoyen, et étant voué à retourner dans l'ombre qui l'a engendré, son nom me glisse facilement de l'esprit.
J'ai un peu de mal à me souvenir de son nom : n'ayant jamais été élu, ne représentant aucun citoyen, et étant voué à retourner dans l'ombre qui l'a engendré, son nom me glisse facilement de l'esprit.
- XIIINeoprof expérimenté
Macron roule toujours pour Rothschild et une libéralisation de l'université provoquerait le même phénomène qu'aux EU ou en Angleterre: des étudiants surendettés qui rameraient toute leur vie pour rembourser ce prêt! Endetter à 18 ans ça bride d'entrée toute envie de se rebeller et de défendre une autre vision du monde!
- archebocEsprit éclairé
XIII a écrit:Macron roule toujours pour Rothschild et une libéralisation de l'université provoquerait le même phénomène qu'aux EU ou en Angleterre: des étudiants surendettés qui rameraient toute leur vie pour rembourser ce prêt! Endetter à 18 ans ça bride d'entrée toute envie de se rebeller et de défendre une autre vision du monde!
C'est pour cela que nous sommes tous si apathique : en France, nous sommes endettés dès la naissance.
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