- CamiyeNiveau 3
Bonjour à tous,
Cet été, j'avoue me casser la tête quant au choix des LC pour mes séquences, que ce soit pour mes futurs STMG ou S. J'ai l'impression de manquer d'idées, d'être trop ambitieuse... ou pas assez. Bref, je ne cesse de changer mon fusil d'épaule! Voici en particulier les séquences qui me posent problème:
1ère techno + S : dans le cadre de l'étude de l'oeuvre Le Soleil des Scorta de Gaudé (je la traite de manière plus approfondie avec les S, l'année dernière mes STL et L avaient beaucoup aimé) je me demandais si je ne pouvais pas proposer l'Adversaire de Carrère en cursive.. Mais peut-être est-ce trop difficile pour des STMG?
1ère S: GT sur "le personnage féminin en quête de liberté". J'avais proposé Carmen de Mérimée l'année dernière mais les élèves n'avaient pas accroché. Je songeais aux Diaboliques d'Aurevilly ou Orgueil et préjugés d'Austen ou bien encore La femme et le pantin...
1ère STMG: GT sur l'artiste et l'écrivain engagés. L'année dernière j'ai proposé Indignez-vous de S. Hessel, mais c'est tombé un peu à plat. Pensez-vous que Les Justes de Camus soit trop difficile? J'hésite d'autant plus que je fais en théâtre Incendies de W. Mouawad avec Oedipe roi de Sophocle en cursive...
Auriez-vous quelques idées/conseils à me proposer?
D'avance merci!
Cet été, j'avoue me casser la tête quant au choix des LC pour mes séquences, que ce soit pour mes futurs STMG ou S. J'ai l'impression de manquer d'idées, d'être trop ambitieuse... ou pas assez. Bref, je ne cesse de changer mon fusil d'épaule! Voici en particulier les séquences qui me posent problème:
1ère techno + S : dans le cadre de l'étude de l'oeuvre Le Soleil des Scorta de Gaudé (je la traite de manière plus approfondie avec les S, l'année dernière mes STL et L avaient beaucoup aimé) je me demandais si je ne pouvais pas proposer l'Adversaire de Carrère en cursive.. Mais peut-être est-ce trop difficile pour des STMG?
1ère S: GT sur "le personnage féminin en quête de liberté". J'avais proposé Carmen de Mérimée l'année dernière mais les élèves n'avaient pas accroché. Je songeais aux Diaboliques d'Aurevilly ou Orgueil et préjugés d'Austen ou bien encore La femme et le pantin...
1ère STMG: GT sur l'artiste et l'écrivain engagés. L'année dernière j'ai proposé Indignez-vous de S. Hessel, mais c'est tombé un peu à plat. Pensez-vous que Les Justes de Camus soit trop difficile? J'hésite d'autant plus que je fais en théâtre Incendies de W. Mouawad avec Oedipe roi de Sophocle en cursive...
Auriez-vous quelques idées/conseils à me proposer?
D'avance merci!
- FabienneNiveau 9
Incendies en STMG peut marcher, mais Oedipe-Roi en cursive serait à réserver à des séries générales. L'oeuvre de Mouawad est dense pour des séries techno, mais avec un bon accompagnement pourquoi pas?
- PoupoutchModérateur
Cela dépend sans doute des STMG, mais les miens n'auraient jamais lu un livre entier en OI et un autre en cursive. Du coup, avec le soleil des Scorta, j'aurais sans doute proposé un groupement de textes sur les familles maudites (je pensais à Zola, notamment, avec l'idée de malédiction familiale...). Cela permettrait également d'avoir un regard un peu historique sur le perso de roman, à moins que ce ne soit justement l'objet de ta séquence sur le personnage féminin.. Je n'ai pas encore eu de S, je vais découvrir cette année, mais je suppose qu'il n'y a pas que de grands lecteurs dans cette série...
Pour ce qui concerne Les Justes, il est prévu dans mon programme avec les S et les STMG, en lecture cursive accompagnant un GT sur le courage en politique. Je ne pense pas que ce soit trop compliqué.
Pour le théâtre, pourquoi pas Cocteau à la place de Sophocle en STMG? La machine infernale a l'avantage de présenter explicitement les enjeux de la tragédie... Quoique là aussi, la forme est difficile.
Bref, je ne sais pas vraiment si je t'aide, du haut de ma petite année d'expérience !
Pour ce qui concerne Les Justes, il est prévu dans mon programme avec les S et les STMG, en lecture cursive accompagnant un GT sur le courage en politique. Je ne pense pas que ce soit trop compliqué.
Pour le théâtre, pourquoi pas Cocteau à la place de Sophocle en STMG? La machine infernale a l'avantage de présenter explicitement les enjeux de la tragédie... Quoique là aussi, la forme est difficile.
Bref, je ne sais pas vraiment si je t'aide, du haut de ma petite année d'expérience !
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Lapin Émérite, celle qui Nage en Lisant ou Inversement, Dompteuse du fauve affamé et matutinal.
"L'intelligence est une maladie qui peut se transmettre très facilement mais dont on peut guérir très rapidement et sans aucune séquelle"
- ysabelDevin
Poupoutch a écrit:Cela dépend sans doute des STMG, mais les miens n'auraient jamais lu un livre entier en OI et un autre en cursive. Du coup, avec le soleil des Scorta, j'aurais sans doute proposé un groupement de textes sur les familles maudites (je pensais à Zola, notamment, avec l'idée de malédiction familiale...). Cela permettrait également d'avoir un regard un peu historique sur le perso de roman, à moins que ce ne soit justement l'objet de ta séquence sur le personnage féminin.. Je n'ai pas encore eu de S, je vais découvrir cette année, mais je suppose qu'il n'y a pas que de grands lecteurs dans cette série...
Pour ce qui concerne Les Justes, il est prévu dans mon programme avec les S et les STMG, en lecture cursive accompagnant un GT sur le courage en politique. Je ne pense pas que ce soit trop compliqué.
Pour le théâtre, pourquoi pas Cocteau à la place de Sophocle en STMG? La machine infernale a l'avantage de présenter explicitement les enjeux de la tragédie... Quoique là aussi, la forme est difficile.
Bref, je ne sais pas vraiment si je t'aide, du haut de ma petite année d'expérience !
Je l'ai fait lire en cursive cette année à mes s et St2S. Si c'est passé tout seul pour les S, ce fut une autre histoire pour les ST2S. Ma collègue qui les avait en AP a dû prendre 2 à 3 heures pour revenir sur la pièce pour que les filles comprennent. Cela s'est bien fini : elles ont compris et apprécié.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
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