- Dr RaynalHabitué du forum
Bon, alors, où en sommes nous, côté réforme ?
Après une opposition multiforme, parcellaire entres respectueuse, nous avons obtenus les résultats suivants : zéro.
Alors dès la rentrée (parce que penser qu'en "se mobilisant" en mai, cela va changer quelque chose... sauf à bloquer l'euro.... je n'y crois pas)
Aussi, dès la rentrée, peut ^tre faudrait il, au plan syndical si possible, définir la résistance, en se limitant volontairement, comme l'indique mon titre, à notre travail, tout notre travail, rien que notre travail.
Et donc:
- réclamer via les syndicats une définition claire de nos taches et de notre temps de travail, actuellement volontairement dans le flou le plus complet.
- refuser d'organiser tous les "à côtés" : voyages scolaires, sorties, animations, projets.... raison : "la mise en place de la réforme mobilisant toute notre énergie et notre temps, nous n'en avons plus pour des activités subalternes découlant du bénévolat". A répéter ad libitum, à la moindre sollicitation. Pendant le nombre d'années nécéssaires.
- refuser toutes les réunions non obligatoires (ce qui reviens à demander que soi fixé un cadre national définissant qu'est ce qui est obligatoire et ce qui ne l'est pas, pour le moment, c'est le flou total)
- envisager des actions de blocage : orientation, corrections des examen, formulaires... non remplis. - Appel à un refus général de la fonction de PP 3éme, par exemple. Et si elle est imposée, l'accomplir si mal que personne n'ait envie de nous en faire bénéficier de nouveau.
- Action syndicale judiciaire, si possible, s'appuyant sur l'absence de médecine du travail.
- refus d'utiliser le matériel que nous payons pour notre travail : plus de réponse à aucun mail reçu en dehors des ordis de l'établissement.
- Puisque l'évaluation "par compétences" veut nous être imposé : ne plus réaliser qu'une évaluation par trimestre, voire moins, voire un examen annuel. Et valider, ou non, sans appel. Faire creuser la légalité de l'éventuelle validation par le chef d'établissement des susdites compétences.
Bref, bloquer, gripper, géner, foutre la m... autant que possible tout simplement en nous limitant à notre travail, et en laissant tomber tout le reste. Avez vous d'autres idées ?
Après une opposition multiforme, parcellaire entres respectueuse, nous avons obtenus les résultats suivants : zéro.
Alors dès la rentrée (parce que penser qu'en "se mobilisant" en mai, cela va changer quelque chose... sauf à bloquer l'euro.... je n'y crois pas)
Aussi, dès la rentrée, peut ^tre faudrait il, au plan syndical si possible, définir la résistance, en se limitant volontairement, comme l'indique mon titre, à notre travail, tout notre travail, rien que notre travail.
Et donc:
- réclamer via les syndicats une définition claire de nos taches et de notre temps de travail, actuellement volontairement dans le flou le plus complet.
- refuser d'organiser tous les "à côtés" : voyages scolaires, sorties, animations, projets.... raison : "la mise en place de la réforme mobilisant toute notre énergie et notre temps, nous n'en avons plus pour des activités subalternes découlant du bénévolat". A répéter ad libitum, à la moindre sollicitation. Pendant le nombre d'années nécéssaires.
- refuser toutes les réunions non obligatoires (ce qui reviens à demander que soi fixé un cadre national définissant qu'est ce qui est obligatoire et ce qui ne l'est pas, pour le moment, c'est le flou total)
- envisager des actions de blocage : orientation, corrections des examen, formulaires... non remplis. - Appel à un refus général de la fonction de PP 3éme, par exemple. Et si elle est imposée, l'accomplir si mal que personne n'ait envie de nous en faire bénéficier de nouveau.
- Action syndicale judiciaire, si possible, s'appuyant sur l'absence de médecine du travail.
- refus d'utiliser le matériel que nous payons pour notre travail : plus de réponse à aucun mail reçu en dehors des ordis de l'établissement.
- Puisque l'évaluation "par compétences" veut nous être imposé : ne plus réaliser qu'une évaluation par trimestre, voire moins, voire un examen annuel. Et valider, ou non, sans appel. Faire creuser la légalité de l'éventuelle validation par le chef d'établissement des susdites compétences.
Bref, bloquer, gripper, géner, foutre la m... autant que possible tout simplement en nous limitant à notre travail, et en laissant tomber tout le reste. Avez vous d'autres idées ?
- SheldonNiveau 9
Il faudrait déplacer ce fil dans la section réforme, les questions sont exactement celles que je me pose actuellement !!
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" En tant que Physicien, j'ai une connaissance étendue de l'Univers et de tout ce qu'il contient." - Moi
- amethysteDoyen
Très clairement, j'ai annoncé que je n'évaluerai que par compétences l'année prochaine, la note devenant facultative. Pour l'avoir pratiqué pendant 3 ans en 6e, ça râle du côté des parents et du côté des PP qui sont incapables d'évaluer le niveau d'un élève. De même, je refuse d'être PP l'année prochaine (vous avez vu les futurs bulletins ??? Usine à gaz, je ne serai jamais assez payée pour les remplir et les expliquer aux parents). Je refuse aussi de valider des passages en classe supérieur à tout va, les conseils de classe, j'irai en touriste.
J'ai aussi prévu de téléphoner au médecin, vu la charge de travail prévue l'année prochaine et les consignes contradictoires données, l'absence de manuels sur 3 niveaux, l'évaluation qu'on ne sait absolument comment gérer l'année prochaine...Grève du zèle. Maintenant, je suis réaliste, la plupart de mes collègues ne réagissent pas comme moi.
Ca fait déjà 3 messages où je cherche le smiley qui se pend !
J'ai aussi prévu de téléphoner au médecin, vu la charge de travail prévue l'année prochaine et les consignes contradictoires données, l'absence de manuels sur 3 niveaux, l'évaluation qu'on ne sait absolument comment gérer l'année prochaine...Grève du zèle. Maintenant, je suis réaliste, la plupart de mes collègues ne réagissent pas comme moi.
Ca fait déjà 3 messages où je cherche le smiley qui se pend !
- DalvaVénérable
Dr Raynal a écrit:Bon, alors, où en sommes nous, côté réforme ?
Après une opposition multiforme, parcellaire entres respectueuse, nous avons obtenus les résultats suivants : zéro.
Alors dès la rentrée (parce que penser qu'en "se mobilisant" en mai, cela va changer quelque chose... sauf à bloquer l'euro.... je n'y crois pas)
Aussi, dès la rentrée, peut ^tre faudrait il, au plan syndical si possible, définir la résistance, en se limitant volontairement, comme l'indique mon titre, à notre travail, tout notre travail, rien que notre travail.
Et donc:
- réclamer via les syndicats une définition claire de nos taches et de notre temps de travail, actuellement volontairement dans le flou le plus complet.
- refuser d'organiser tous les "à côtés" : voyages scolaires, sorties, animations, projets.... raison : "la mise en place de la réforme mobilisant toute notre énergie et notre temps, nous n'en avons plus pour des activités subalternes découlant du bénévolat". A répéter ad libitum, à la moindre sollicitation. Pendant le nombre d'années nécéssaires.
- refuser toutes les réunions non obligatoires (ce qui reviens à demander que soi fixé un cadre national définissant qu'est ce qui est obligatoire et ce qui ne l'est pas, pour le moment, c'est le flou total) Non, ce n'est pas flou du tout.
- envisager des actions de blocage : orientation, corrections des examen, formulaires... non remplis. - Appel à un refus général de la fonction de PP 3éme, par exemple. Et si elle est imposée, l'accomplir si mal que personne n'ait envie de nous en faire bénéficier de nouveau.
- Action syndicale judiciaire, si possible, s'appuyant sur l'absence de médecine du travail.
- refus d'utiliser le matériel que nous payons pour notre travail : plus de réponse à aucun mail reçu en dehors des ordis de l'établissement.Et aller chercher auprès de l'intendance les stylos, le papier, la colle, les trombones, etc. aussi souvent que nécessaire.
- Puisque l'évaluation "par compétences" veut nous être imposé : ne plus réaliser qu'une évaluation par trimestre, voire moins, voire un examen annuel. Et valider, ou non, sans appel. Faire creuser la légalité de l'éventuelle validation par le chef d'établissement des susdites compétences.
Bref, bloquer, gripper, géner, foutre la m... autant que possible tout simplement en nous limitant à notre travail, et en laissant tomber tout le reste. Avez vous d'autres idées ?
- Marguerite VNiveau 6
Et ne pas faire la rentrée, est-ce envisageable ? Tous en grève jusqu'à l'abrogation...
- Dr RaynalHabitué du forum
Marguerite V a écrit:Et ne pas faire la rentrée, est-ce envisageable ? Tous en grève jusqu'à l'abrogation...
Jusqu'à l'abrogation... nous serons morts de faim avant... Mais une grève dès la rentrée, pour désorganiser les prises en charge des élèves... Ce ne serait pas si mal...
- CathEnchanteur
L'an dernier j'ai été la seule de mon établissement à faire grève le jour de la pré-rentrée, le 31 août...
- BalthamosDoyen
Dr Raynal a écrit:
Aussi, dès la rentrée, peut ^tre faudrait il, au plan syndical si possible, définir la résistance, en se limitant volontairement, comme l'indique mon titre, à notre travail, tout notre travail, rien que notre travail.
Et donc:
- réclamer via les syndicats une définition claire de nos taches et de notre temps de travail, actuellement volontairement dans le flou le plus complet.
...
- refuser toutes les réunions non obligatoires (ce qui reviens à demander que soi fixé un cadre national définissant qu'est ce qui est obligatoire et ce qui ne l'est pas, pour le moment, c'est le flou total)
Pour te répondre, je me suis permis de réorganiser ton message.
Pour la première partie, ce n'est pas flou. Le flou est organisé par certains chefs, certaines directions, certains rectorats.
Mais les textes sont clairs sur ces points, parfois à notre faveur, parfois non, mais ils existent.
Sur les obligations de service :
http://www.snes.edu/OBLIGATOIRE-ou-NON.html
Sur les moyens de résister à la réforme grâce aux obligations, en refusant certaines tâches ou réunions par exemple :
http://www.snes.edu/IMG/pdf/8p_resistance-pedagogique12-5-2016.pdf
Toujours sur ce même point, différents syndicats ont travaillés sur l'organisation des programmes et de la réforme, pour "limiter la casse et nos tâches" :
http://www.snes.edu/IMG/pdf/programmes_resistance_pedagogique.pdf
https://snalc.fr/uploads/documents/national/PROGRAMMES_SNALC_GLOBAL.pdf
- refuser d'organiser tous les "à côtés" : voyages scolaires, sorties, animations, projets.... raison : "la mise en place de la réforme mobilisant toute notre énergie et notre temps, nous n'en avons plus pour des activités subalternes découlant du bénévolat". A répéter ad libitum, à la moindre sollicitation. Pendant le nombre d'années nécéssaires.
...
- refus d'utiliser le matériel que nous payons pour notre travail : plus de réponse à aucun mail reçu en dehors des ordis de l'établissement.
Pour le dernier point, c'est clair et il ne faut pas attendre la réforme pour se défendre de ce côté là. Je ne paie pas pour travailler, le travaille pour être payé.
Sinon je suis d'accord aussi pour se limiter aux obligations réglementaires et oublier les "à côté" ludiques et pédagogiques, plaisant pour les élèves, parents et chefs.
- envisager des actions de blocage : orientation, corrections des examen, formulaires... non remplis. - Appel à un refus général de la fonction de PP 3éme, par exemple. Et si elle est imposée, l'accomplir si mal que personne n'ait envie de nous en faire bénéficier de nouveau.
- Action syndicale judiciaire, si possible, s'appuyant sur l'absence de médecine du travail.
Bref, bloquer, gripper, géner, foutre la m... autant que possible tout simplement en nous limitant à notre travail, et en laissant tomber tout le reste. Avez vous d'autres idées ?
Attention, certains points que tu soulignes sont clairement hors la loi. Au mieux, bien défendu et organisé collectivement ils deviennent grève pour service non fait, au pire défaillance professionnelle avec risque de sanction s'y accompagnant.
Bloquer, gripper, gêner, foutre la m.... à condition que ça soit organisé collectivement et comme il faut, avec la visibilité adéquate (locale et nationale).
- Puisque l'évaluation "par compétences" veut nous être imposé : ne plus réaliser qu'une évaluation par trimestre, voire moins, voire un examen annuel. Et valider, ou non, sans appel. Faire creuser la légalité de l'éventuelle validation par le chef d'établissement des susdites compétences.
Veut peut être mais dans les faits, rien ne nous oblige à passer à l'évaluation par compétences ou de supprimer les notes.
Creuser les inégalités pour montrer notre opposition à la réforme.... bof bof bof.
Je pense que la réforme creusera les inégalités sans notre intervention dans ce sens et cela me choque de "faire creuser" volontairement pour s'opposer.
- ArtysiaVénérable
bigbang a écrit:Il faudrait déplacer ce fil dans la section réforme, les questions sont exactement celles que je me pose actuellement !!
C'est fait
- SheldonNiveau 9
Merci ô modérateur.
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" En tant que Physicien, j'ai une connaissance étendue de l'Univers et de tout ce qu'il contient." - Moi
- Pat BÉrudit
Dr Raynal a écrit:Bon, alors, où en sommes nous, côté réforme ?
Après une opposition multiforme, parcellaire entres respectueuse, nous avons obtenus les résultats suivants : zéro.
Alors dès la rentrée (parce que penser qu'en "se mobilisant" en mai, cela va changer quelque chose... sauf à bloquer l'euro.... je n'y crois pas)
Aussi, dès la rentrée, peut ^tre faudrait il, au plan syndical si possible, définir la résistance, en se limitant volontairement, comme l'indique mon titre, à notre travail, tout notre travail, rien que notre travail.
Et donc:
- réclamer via les syndicats une définition claire de nos taches et de notre temps de travail, actuellement volontairement dans le flou le plus complet.
- refuser d'organiser tous les "à côtés" : voyages scolaires, sorties, animations, projets.... raison : "la mise en place de la réforme mobilisant toute notre énergie et notre temps, nous n'en avons plus pour des activités subalternes découlant du bénévolat". A répéter ad libitum, à la moindre sollicitation. Pendant le nombre d'années nécéssaires.
- refuser toutes les réunions non obligatoires (ce qui reviens à demander que soi fixé un cadre national définissant qu'est ce qui est obligatoire et ce qui ne l'est pas, pour le moment, c'est le flou total)
- envisager des actions de blocage : orientation, corrections des examen, formulaires... non remplis.
- Appel à un refus général de la fonction de PP 3éme, par exemple. Et si elle est imposée, l'accomplir si mal que personne n'ait envie de nous en faire bénéficier de nouveau.
- Action syndicale judiciaire, si possible, s'appuyant sur l'absence de médecine du travail.
- refus d'utiliser le matériel que nous payons pour notre travail : plus de réponse à aucun mail reçu en dehors des ordis de l'établissement.
- Puisque l'évaluation "par compétences" veut nous être imposé : ne plus réaliser qu'une évaluation par trimestre, voire moins, voire un examen annuel. Et valider, ou non, sans appel. Faire creuser la légalité de l'éventuelle validation par le chef d'établissement des susdites compétences.
Bref, bloquer, gripper, géner, foutre la m... autant que possible tout simplement en nous limitant à notre travail, et en laissant tomber tout le reste. Avez vous d'autres idées ?
Légiférer est à double tranchant, il faut que ce soit bien négocié et qu'on précise effectivement des maximas (combien de conseils de classe, réunions, etc, par an?)... Et il faut aussi qu'on compare à ce qui existait "autrefois" (avant l'ISOE telle qu'on la connait par ex), pour montrer que le nombre de réunion a explosé, alors que les salaires ont baissé... par conséquent ça justifie une vraie augmentation de salaire ! (pas des miettes), ou un allègement horaire d'une ou deux heures par semaine pour compenser...
Pour l'évaluation, elle relève de notre responsabilité il me semble : peut-on nous reprocher de n'en faire qu'une par trimestre ? (càd une seule donnant lieu à note ou évaluation des compétences). Les inspecteurs, certainement, peuvent nous le reprocher mais ça n'a rien d'illégal !
- TangledingGrand Maître
Demander un chiffrage supplémentaire à nos heures de service d'enseignement c'est creuser notre tombe... Refusons déjà tout ce qui n'est pas obligatoire.
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"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- Dr RaynalHabitué du forum
Balthamos a écrit: Pour te répondre, je me suis permis de réorganiser ton message.
Et tu as eu raison.
Balthamos a écrit: Pour la première partie, ce n'est pas flou.
Pour moi, le flou provient des "missions liées". Si j'en crois les docs cités, les "nouveaux conseils" (école-collége, de cycle...) ne sont pas obligatoires. OK.
Je crois que c'est là que l'on peut réellement "faire mal". Parce que, mine de rien, il y a beaucoup de ces actions bénévoles qui constituent la "vie" d'un établissement. Faire savoir que réforme = établissement "mort" me semble primordial. De plus, ce "mot d'ordre" peut être suivi sans frais, bien au contraire !Balthamos a écrit: Sinon je suis d'accord aussi pour se limiter aux obligations réglementaires et oublier les "à côté" ludiques et pédagogiques, plaisant pour les élèves, parents et chefs.
Balthamos a écrit: Attention, certains points que tu soulignes sont clairement hors la loi. Au mieux, bien défendu et organisé collectivement ils deviennent grève pour service non fait
J'entends bien entendu collectivement, dans un cadre national d'appel à la grève. Ceci dit, si un professeur se retrouve "commis d'office" PP troisième, et que la charge de travail l'épuise au point qu'il soit médicalement inapte juste au moment où les dossiers d'orientation doivent se faire, que pourrait-on lui reprocher
Balthamos a écrit: Bloquer, gripper, gêner, foutre la m.... à condition que ça soit organisé collectivement et comme il faut, avec la visibilité adéquate (locale et nationale).
Tout a fait d'accord. A notre époque, ce qui n'est pas médiatiquement visible est inexistant.
.Balthamos a écrit: dans les faits, rien ne nous oblige à passer à l'évaluation par compétences
Heu, il me semblait que pour remplir les futurs bulletins, il fallait avoir évalué les compétences... (enfin, on est censé l'avoir fait)
Sinon, puisque tu es informé, qu'en est il de cadre légal de la médecine du travail ? Est il "normal" que cette dernière n'existe pas dans l'EN ?
Et pour "creuser les inégalités", je voudrais simplement savoir s'il est légal que le chef d'établissement valide les compétences d'élèves dont il ne connait le plus souvent que les noms...
- Pat BÉrudit
Sur ce dernier point, je partage ton avis, c'est illégal et il y a un vrai souci !
Il y a une dérive incroyable de certains cde qui valident manuellement des compétences, voire (j'en connais!) qui modifient des notes d'HDA ou des coef d'évaluations... quand ce n'est pas des notes !
C'est illégal, difficile à prouver : il faudrait que chaque prof garde une trace de ce qu'il a rentré, et/ou des bulletins validés en conseil de classe, et puisse, l'année d'après, avoir accès aux bulletins définitifs ou à ce qui est présenté en commission d'orientation. Et surtout qu'on trouve le temps et le courage de le faire,... et qu'on ose ensuite le dénoncer, sachant que ça va faire du tort à l'établissement (je suis dans le privé).
Mais imaginons qu'on réunisse des preuves de ces malversations : à qui le dénoncer ?
Il y a une dérive incroyable de certains cde qui valident manuellement des compétences, voire (j'en connais!) qui modifient des notes d'HDA ou des coef d'évaluations... quand ce n'est pas des notes !
C'est illégal, difficile à prouver : il faudrait que chaque prof garde une trace de ce qu'il a rentré, et/ou des bulletins validés en conseil de classe, et puisse, l'année d'après, avoir accès aux bulletins définitifs ou à ce qui est présenté en commission d'orientation. Et surtout qu'on trouve le temps et le courage de le faire,... et qu'on ose ensuite le dénoncer, sachant que ça va faire du tort à l'établissement (je suis dans le privé).
Mais imaginons qu'on réunisse des preuves de ces malversations : à qui le dénoncer ?
- XIIINeoprof expérimenté
La médecine du travail survie il faut juste faire appliquer ce droit pour que ce droit existe! Nous avons droit à une visite médicale chaque 5 ans sur le temps scolaire, il faut juste en faire la demande!
Quant à la légende des 1607 H...ok nous sommes un corps particulier de la FP, mais dans le cadre du PPCR il est prévu de fusionner les corps et de faire la chasse aux corps qui ne sont pas aux 1607 heures effectives...
Je le répète : pourquoi cette volonté d'abroger le Décret de 1950 si rien ne change?? Il y a bien une raison..
Quant à la légende des 1607 H...ok nous sommes un corps particulier de la FP, mais dans le cadre du PPCR il est prévu de fusionner les corps et de faire la chasse aux corps qui ne sont pas aux 1607 heures effectives...
Je le répète : pourquoi cette volonté d'abroger le Décret de 1950 si rien ne change?? Il y a bien une raison..
- SheldonNiveau 9
FP : fonction publique
PPCR ?
PPCR ?
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" En tant que Physicien, j'ai une connaissance étendue de l'Univers et de tout ce qu'il contient." - Moi
- HerrelisGrand sage
Parcours Professionnels, Carrières et Rémunérations.
Perso, je sais remplir un bulletin par compétence sans évaluer par compétence, oui je sais, je suis affreuse . J'ai appris sur le tas, après qu'un chef particulièrement zélé nous ai imposé dès la 5ème de remplir ce *** de livret à la noix! Ok, tu veux des petits points? Ne bouge pas! S'il ne faut évaluer que par compétence l'an prochain, je suis prête... à faire braire mon monde. Nous allons avoir une formation à ce sujet, je vais demander très clairement qu'on m'explique comment je dois faire pour que ce soit clair autant pour les élèves que pour moi dans une matière fondamentalement protéiforme! Ils auront 2h pour plancher .
Perso, je sais remplir un bulletin par compétence sans évaluer par compétence, oui je sais, je suis affreuse . J'ai appris sur le tas, après qu'un chef particulièrement zélé nous ai imposé dès la 5ème de remplir ce *** de livret à la noix! Ok, tu veux des petits points? Ne bouge pas! S'il ne faut évaluer que par compétence l'an prochain, je suis prête... à faire braire mon monde. Nous allons avoir une formation à ce sujet, je vais demander très clairement qu'on m'explique comment je dois faire pour que ce soit clair autant pour les élèves que pour moi dans une matière fondamentalement protéiforme! Ils auront 2h pour plancher .
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Han : "Comment on s'en sort?" Luke : "comme d'habitude." Han : "Si mal que ça?!!" Le Retour du Jedi
"Drowned in moonlight, strangled by her own bra." -Carrie Fisher- 1956-2016 - See you space momma.
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- SheldonNiveau 9
Emoticone de stormtrooper :-)
(non ce n'est pas une insulte...)
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- HerrelisGrand sage
C'est à cause du fusil plasma hein? Ça fait toujours ça. I am a pain in the ass. Pour ça que mon Chef m'aime pas .
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Han : "Comment on s'en sort?" Luke : "comme d'habitude." Han : "Si mal que ça?!!" Le Retour du Jedi
"Drowned in moonlight, strangled by her own bra." -Carrie Fisher- 1956-2016 - See you space momma.
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- Tous en grève le 31 mars ? Contre la loi travail, contre la réforme du collège
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