- ycombeMonarque
http://www.nber.org/papers/w18848.pdf
Cité par ce blog, qui contient un historique de la pratique (pour les USA):
http://www.theatlantic.com/national/archive/2013/03/lets-go-back-to-grouping-students-by-ability/274362/
Extrait de la conclusion a écrit:We find strong evidence that sorting students into more homogeneous groups is beneficial, particularly for sorting by previous testing score. Interestingly, when allowing for heterogeneity in the sorting effect across a distribution of students, we find positive and significant results for both high scoring and low scoring students, suggesting that both groups benefit from sorted classes. This is consistent with the hypothesis that dividing students into more homogeneous groups allows teachers to direct their focus to a more narrow range of students and meet the needs of their particular classroom more efficiently.
Cité par ce blog, qui contient un historique de la pratique (pour les USA):
http://www.theatlantic.com/national/archive/2013/03/lets-go-back-to-grouping-students-by-ability/274362/
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Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- wanaxFidèle du forum
La semaine prochaine, une étude américaine sera publiée qui mettra en évidence le fait que l'eau, ça mouille ( à deux sigmas près. )
- JPhMMDemi-dieu
:lol:wanax a écrit:La semaine prochaine, une étude américaine sera publiée qui mettra en évidence le fait que l'eau, ça mouille ( à deux sigmas près. )
Des recherches seront nécessaires en laboratoire de physique des particules pour atteindre les 5 sigmas attendus.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ycombeMonarque
L'eau ne mouille pas chez nous:
Baptiser théorème le résultat d'une étude sociologique revient à vouloir l'imposer comme vérité d'évangile. Les sciences de l'éducation, en France, fonctionnent comme une secte. J'ai entendu IPRs et Perdirs citer cette vérité comme indiscutable car prouvée.
On peut lire l'article de Mme Duru-Bellat et de M. Mingat ici:
http://www.persee.fr/docAsPDF/rfsoc_0035-2969_1997_num_38_4_4667.pdf
http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/elitisme-republicain-55243 a écrit:
- Ce que certains appellent le théorème de Duru-Bellat est vérifié par les comparaisons internationales : la pratique des groupes de niveau fait globalement moins progresser leurs élèves que la pratique de l’hétérogénéité.
http://www.icem34.fr/index.php/ressources/billets-d-humeur/304-point-d-elitisme-vive-l-excellence a écrit:
Que serait alors une pédagogie de l’excellence ?
D’abord, une pédagogie qui admet le théorème de Duru, du nom des travaux de Marie Duru-Bellat s’intéressant aux effets de la composition des groupes sur les acquissions scolaires : les classes homogènes creusent les inégalités entre les élèves, les classes hétérogènes peuvent, sous certaines conditions, prétendre à de l’équité scolaire.
Baptiser théorème le résultat d'une étude sociologique revient à vouloir l'imposer comme vérité d'évangile. Les sciences de l'éducation, en France, fonctionnent comme une secte. J'ai entendu IPRs et Perdirs citer cette vérité comme indiscutable car prouvée.
On peut lire l'article de Mme Duru-Bellat et de M. Mingat ici:
http://www.persee.fr/docAsPDF/rfsoc_0035-2969_1997_num_38_4_4667.pdf
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Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- JPhMMDemi-dieu
Forcément, en France on fait une étude sur le mercure, et on étend les résultats à l'eau. Façon alchimie. Ou Sciencéduc.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- DalvaVénérable
Et "acquission", c'est vraiment un mot ?
Genre "acquisition" ça ne suffit plus, ça fait pas assez pro ?
Genre "acquisition" ça ne suffit plus, ça fait pas assez pro ?
- Spinoza1670Esprit éclairé
Toi, si tu continues à la ramener, tu vas avoir droit à une inspession. :lol:Dalva a écrit:Et "acquission", c'est vraiment un mot ?
Genre "acquisition" ça ne suffit plus, ça fait pas assez pro ?
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« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
Littérature au primaire - Rédaction au primaire - Manuels anciens - Dessin au primaire - Apprendre à lire et à écrire - Maths au primaire - école : références - Leçons de choses.
- Spinoza1670Esprit éclairé
ycombe a écrit:L'eau ne mouille pas chez nous:http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/elitisme-republicain-55243 a écrit:
- Ce que certains appellent le théorème de Duru-Bellat est vérifié par les comparaisons internationales : la pratique des groupes de niveau fait globalement moins progresser leurs élèves que la pratique de l’hétérogénéité.http://www.icem34.fr/index.php/ressources/billets-d-humeur/304-point-d-elitisme-vive-l-excellence a écrit:
Que serait alors une pédagogie de l’excellence ?
D’abord, une pédagogie qui admet le théorème de Duru, du nom des travaux de Marie Duru-Bellat s’intéressant aux effets de la composition des groupes sur les acquissions scolaires : les classes homogènes creusent les inégalités entre les élèves, les classes hétérogènes peuvent, sous certaines conditions, prétendre à de l’équité scolaire.
Baptiser théorème le résultat d'une étude sociologique revient à vouloir l'imposer comme vérité d'évangile. Les sciences de l'éducation, en France, fonctionnent comme une secte. J'ai entendu IPRs et Perdirs citer cette vérité comme indiscutable car prouvée.
On peut lire l'article de Mme Duru-Bellat et de M. Mingat ici:
http://www.persee.fr/docAsPDF/rfsoc_0035-2969_1997_num_38_4_4667.pdf
Donnons un coup de pouce aux sciences de l'éducation.
Quelle expérimentation, par exemple concernant l'enseignement des maths en 6e, permettrait de trancher, de "montrer", de la manière la plus objective possible, la supériorité des classes homogènes ou celle des classes hétérogènes ?
Je ne m'y connais pas assez en biologie, médecine ou autres sciences utilisant des expérimentations avec groupes témoins, statistiques, etc. pour concevoir moi-même un tel dispositif sas faire de grosses bourdes.
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« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
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- klaus2Habitué du forum
classes de niveaux : plusieurs fois tenté. le groupe des bons marche, les autres ne bougent pas. L'homogénéité semble une bonne idée, mais (pour ce que j'ai vu) ça ne fonctionne pas.
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Eine andere Sprache zu können, ist wie eine zweite Seele zu besitzen.“ – Karl der Große. "Parler une autre langue, c'est comme posséder une seconde âme" (Charlemagne)
- JaneMonarque
Je n'ai jamais eu de classe de niveau en tant qu'enseignante (mais j'ai eu d'excellentes classes avec quelques Jessyfer et autres Kévinou histoire de...). En revanche, j'ai bénéficié, en tant qu'élève, d'un enseignement dans une classe homogène (germanistes + latinistes), et franchement, quel bonheur !
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- User27372Niveau 7
J'ai eu trois ans de suite des classes de niveau, forte et faible. Il se créait tout de même une certaine émulation chez les plus en difficulté mais sans retournement spectaculaire dès qu'ils réintégraient une formule classique.
- BoubouleDoyen
klaus2 a écrit:classes de niveaux : plusieurs fois tenté. le groupe des bons marche, les autres ne bougent pas. L'homogénéité semble une bonne idée, mais (pour ce que j'ai vu) ça ne fonctionne pas.
Comment tu différenciais ce que tu faisais dans les deux groupes ?
- klaus2Habitué du forum
Par exemple, série d'affiches allemandes sur la 1ère guerre mondiale : vocabulaire (donné sur feuille bilingue) plus simple pour les moins forts, même idée de commenter-analyser-décrire à l'oral et écrit. Les uns comprennent et acceptent les remarques, les autres ne comprennent pas tout à fait et ont moins d'intérêt. Un groupe heterogen réagit mieux, on demande le plus facile aux moins forts, le plus dur aux plus forts...
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Eine andere Sprache zu können, ist wie eine zweite Seele zu besitzen.“ – Karl der Große. "Parler une autre langue, c'est comme posséder une seconde âme" (Charlemagne)
- DalvaVénérable
L'homogénéité a ses limites, notamment si est créé un groupe de très très faibles, dans lequel se retrouvent souvent les élèves faibles parce qu'ascolaires et donc très peu motivés. Dans ce cas, peu d'émulation, et les élèves en difficulté mais ayant habituellement envie de fournir des efforts pour progresser se laissent tirer vers le bas par une majorité passive voire paresseuse voire bordélisante. Parce que ce n'est pas facile de lutter contre un tel poids.
Une petite hétérogénéité est donc nécessaire pour créer de l'émulation et aussi pour permettre la motivation, l'exemple, tout ça.
D'un autre côté, l'hétérogénéité poussée à l'extrême, comme ce à quoi nous sommes confrontés aujourd'hui avant le lycée (et je trouve que la classe dans laquelle c'est le plus terrible, c'est la 3e), est néfaste. Les niveaux sont tellement disparates qu'il devient impossible de s'adresser à aucun moment au groupe. Il n'est même pas possible, dans ma matière, de travailler sur les mêmes supports (donc sur les mêmes textes) si l'on veut que tous les élèves puissent réellement faire quelque chose. Cette année, en 3e, j'ai des élèves qui vont du niveau CE2/CM1 environ, à du niveau 2nde, avec toutes sortes de profils différents. Ils sont 28. Trois sont en DPA et ne préparent donc pas le brevet général mais le professionnel + le CFG. Un n'a même pas leur niveau mais n'est pas DPA parce qu'il a déjà trouvé son apprentissage, il sera donc inscrit au brevet général. Une ou deux pourraient sans problème être en seconde cette année, la 3e ne leur apporte strictement rien en français puisqu'on ne peut rien faire qui les pousse un peu. D'autres ont un niveau 3e normal (de moyen à bon).
Je ne peux m'adresser ni aux uns ni autres. Il faudrait que je prépare 4 à 7 cours (= supports) différents pour chaque heure, selon le point à traiter. C'est évidemment impossible dans la mesure où je n'ai pas qu'une seule classe.
L'ambiance de travail est inexistante puisque ceux qui savent déjà s'ennuient, ceux qui ne comprennent pas s'ennuient, ceux qui pourraient avec un petit effort n'essaient pas, etc.
Cette hétérogénéité totale est une catastrophe. On ne rend service à personne. C'est seulement le principe de la colonie de vacances ou du service militaire : on leur apprend à être ensemble bien que tous si différents intellectuellement, socialement, physiquement, etc.
Alors c'est sûr, ils s'entendent plutôt bien (pour fiche le boxon). Pour ça, c'est une réussite.
Une petite hétérogénéité est donc nécessaire pour créer de l'émulation et aussi pour permettre la motivation, l'exemple, tout ça.
D'un autre côté, l'hétérogénéité poussée à l'extrême, comme ce à quoi nous sommes confrontés aujourd'hui avant le lycée (et je trouve que la classe dans laquelle c'est le plus terrible, c'est la 3e), est néfaste. Les niveaux sont tellement disparates qu'il devient impossible de s'adresser à aucun moment au groupe. Il n'est même pas possible, dans ma matière, de travailler sur les mêmes supports (donc sur les mêmes textes) si l'on veut que tous les élèves puissent réellement faire quelque chose. Cette année, en 3e, j'ai des élèves qui vont du niveau CE2/CM1 environ, à du niveau 2nde, avec toutes sortes de profils différents. Ils sont 28. Trois sont en DPA et ne préparent donc pas le brevet général mais le professionnel + le CFG. Un n'a même pas leur niveau mais n'est pas DPA parce qu'il a déjà trouvé son apprentissage, il sera donc inscrit au brevet général. Une ou deux pourraient sans problème être en seconde cette année, la 3e ne leur apporte strictement rien en français puisqu'on ne peut rien faire qui les pousse un peu. D'autres ont un niveau 3e normal (de moyen à bon).
Je ne peux m'adresser ni aux uns ni autres. Il faudrait que je prépare 4 à 7 cours (= supports) différents pour chaque heure, selon le point à traiter. C'est évidemment impossible dans la mesure où je n'ai pas qu'une seule classe.
L'ambiance de travail est inexistante puisque ceux qui savent déjà s'ennuient, ceux qui ne comprennent pas s'ennuient, ceux qui pourraient avec un petit effort n'essaient pas, etc.
Cette hétérogénéité totale est une catastrophe. On ne rend service à personne. C'est seulement le principe de la colonie de vacances ou du service militaire : on leur apprend à être ensemble bien que tous si différents intellectuellement, socialement, physiquement, etc.
Alors c'est sûr, ils s'entendent plutôt bien (pour fiche le boxon). Pour ça, c'est une réussite.
- BoubouleDoyen
klaus2 a écrit:Par exemple, série d'affiches allemandes sur la 1ère guerre mondiale : vocabulaire (donné sur feuille bilingue) plus simple pour les moins forts, même idée de commenter-analyser-décrire à l'oral et écrit. Les uns comprennent et acceptent les remarques, les autres ne comprennent pas tout à fait et ont moins d'intérêt. Un groupe heterogen réagit mieux, on demande le plus facile aux moins forts, le plus dur aux plus forts...
Ok.
Effectivement je pense que les groupes de niveaux doivent conserver des éléments motivés, ce qui veut dire qu'il ne faut pas séparer que sur le niveau.
- totoroMonarque
J'ai déjà eu une classe à profil avec des élèves faibles : j'ai pu avancer avec eux en faisant la même chose que dans une classe "normale" parce que j'avais une heure de plus avec eux (je pouvais prendre plus de temps pour certaines notions) et qu'ils n'étaient que 20 (je pouvais corriger beaucoup de choses en classe avec eux en direct).
Je ne sais pas si j'ai fait des miracles (en fait si, je sais ), mais j'ai avancé tranquillement sans me dire que certains s'ennuyaient, sans larguer ceux qui avaient besoin de plus de temps.
Cette année, j'ai une TRES bonne classe de 6e. Ils sont 28 sans que ça pose de problèmes, ils sont très efficaces...
Je ne sais pas si j'ai fait des miracles (en fait si, je sais ), mais j'ai avancé tranquillement sans me dire que certains s'ennuyaient, sans larguer ceux qui avaient besoin de plus de temps.
Cette année, j'ai une TRES bonne classe de 6e. Ils sont 28 sans que ça pose de problèmes, ils sont très efficaces...
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- maduNiveau 8
J'ai la même expérience : une classe de bons à 30, compréhension rapide, bases grammaticales correctes, ce qui me permet d'aller plus loin dans l'étude des textes et d'approfondir la grammaire sans tout reprendre au début.totoro a écrit:J'ai déjà eu une classe à profil avec des élèves faibles : j'ai pu avancer avec eux en faisant la même chose que dans une classe "normale" parce que j'avais une heure de plus avec eux (je pouvais prendre plus de temps pour certaines notions) et qu'ils n'étaient que 20 (je pouvais corriger beaucoup de choses en classe avec eux en direct).
Je ne sais pas si j'ai fait des miracles (en fait si, je sais ), mais j'ai avancé tranquillement sans me dire que certains s'ennuyaient, sans larguer ceux qui avaient besoin de plus de temps.
Cette année, j'ai une TRES bonne classe de 6e. Ils sont 28 sans que ça pose de problèmes, ils sont très efficaces...
J'ai aussi une classe d'élèves en difficulté (même niveau). Avec eux je travaille plus le vocabulaire, la compréhension littérale des textes, et je passe beeeeaaaaauuuuucoup de temps à re-re-revoir les natures, la ponctuation, l'orthographe ( ). Ils sont moins nombreux, ça aide, et je ne culpabilise pas pour de bons élèves qui perdraient leur temps dans cette classe. Ils avancent peu à peu.
J'ai une troisième classe dans le niveau, des très faibles cette fois, et là je rejoins Dalva, c'est très difficile d'obtenir quoi que ce soit de leur part tant leurs problèmes sont présents (agitation permanente, voca proche de zéro...) et les quelques sérieux sont noyés dans le groupe, perdent l'envie et se laissent aller, à quoi bon ? De toute façon on passe tout notre temps à tenter de les calmer...
- DalvaVénérable
En revanche, j'ai eu une année un groupe de 5e sortis de leurs classes respectives uniquement pour le français. Je les avais cinq heures au lieu de quatre, ils étaient 10 maximum, et j'ai vraiment pu travailler pour eux. Seulement, le contrat de départ était clair : c'était un dispositif destiné à les empêcher de décrocher totalement. Je n'avais donc que des élèves considérés comme en situation de décrochage. Le but n'était pas de les amener à rattraper totalement un niveau de 5e, mais de leur permettre d'intégrer une 4e sans qu'ils y causent trop de dommage, voire en y réussissant à peu près. Cela n'a pas marché pour tous, mais je dirais pour la moitié, ce qui est quand même carrément satisfaisant.
On n'a quasiment pas fait de réelle étude de texte de l'année. Il a fallu apprendre à écrire à certains, ou presque. Rien que se concentrer 10 minutes a été un rude effort. Distinguer voyelles et consonnes, utiliser la majuscule et le point, etc.
Les rédactions, c'étaient pour certains un paragraphe de 5 lignes qu'on reprenait encore et encore jusqu'à ce qu'il veuille dire quelque chose de précis.
Bref...
Mais au moins, on a travaillé.
On n'a quasiment pas fait de réelle étude de texte de l'année. Il a fallu apprendre à écrire à certains, ou presque. Rien que se concentrer 10 minutes a été un rude effort. Distinguer voyelles et consonnes, utiliser la majuscule et le point, etc.
Les rédactions, c'étaient pour certains un paragraphe de 5 lignes qu'on reprenait encore et encore jusqu'à ce qu'il veuille dire quelque chose de précis.
Bref...
Mais au moins, on a travaillé.
- DalvaVénérable
Je me souviens qu'au début, le défi était de les avoir tous en cours à l'heure. On m'avait judicieusement donné 4 salles différentes à 4 endroits différents du collège, pile pour ces élèves sautant sur le moindre prétexte pour ne pas trouver une salle de classe et arriver en retard...
(On s'est bien amusé...)
(On s'est bien amusé...)
- Peut-on être PP de deux classes différentes ?
- Peut-on faire les mêmes cours pour plusieurs niveaux.?
- En collège, peut-on être professeur principal pour deux classes ?
- Etre professeur et devoir faire le ménage d'autres classes
- Romans de Mourlevat au collège : à quelles classes peut-on faire lire le Chagrin du roi mort et Combat d'hiver ?
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